Le Port de Sept-Îles met en valeur un talent local unique et distinctif

SEPT-ÎLES, le 14 septembre 2018 – Le Port de Sept-Îles est très heureux d’avoir fait l’acquisition cette semaine de dix-sept (17) œuvres de l’artiste local, Jean-Pier Synnott. Les œuvres, entièrement fabriquées à partir de rebuts de pièces métalliques, se composent de plusieurs animaux, de personnages ludiques, et même d’une scène sous-marine. Celles-ci peuvent dès maintenant être admirées puisqu’elles sont déjà en exposition sur le terminal Mgr-Blanche où loge le quai des croisières.

Rappelons qu’une sélection des œuvres de monsieur Synnott avait été mise en exposition au terminal Mgr-Blanche l’an dernier lors du passage du Queen Mary 2. L’engouement de la population et les commentaires plus que positifs qu’a générés cette exposition d’un jour ont mené le Port à en faire l’acquisition en vue d’une exposition permanente à ses installations. Cette entente survient juste à temps pour la saison des croisières et permettra de bonifier l’offre au niveau des produits culturels et touristiques, non seulement pour les croisiéristes, mais aussi pour toute la population de Sept-Îles et des environs.

L’aménagement actuel des œuvres est temporaire. Une planification de la mise en place permanente des œuvres sera élaborée en collaboration avec Destination Sept-Îles Nakauinanu et le Musée régional de la Côte-Nord. L’aménagement final sera dévoilé en 2019 à l’occasion du 20e anniversaire de l’Administration portuaire.

« Nous voulons faire découvrir les œuvres magnifiques de monsieur Synnott. C’est pourquoi le terminal Mgr-Blanche sera une vitrine sur le monde imaginaire et extraordinaire de cet artiste local qui ne cesse d’impressionner avec ses créations des plus originales. Nous invitons donc la population à venir découvrir tout le talent et les œuvres de monsieur Synnott constituant un vrai trésor local », de déclarer monsieur Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DE JEAN-PIER SYNNOTT

Monsieur Synnott est soudeur industriel de métier. Il a une passion pour la sculpture depuis sa jeunesse. Ça fait maintenant 20 ans qu’il assemble des rebuts industriels pour leur redonner vie. Plus d’une centaine de sculptures se retrouvent dans le boisé aménagé à l’arrière de sa résidence.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de plus de 30 millions de tonnes en 2018. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

Les ports canadiens — Bâtir pour l’avenir

SAINT JOHN, NB, le 6 septembre 2018 — Avec l’annonce de l’Examen de la modernisation des ports faite par Transports Canada en mars dernier, le réseau portuaire national et ses 18 administrations portuaires canadiennes se sont retrouvés à un point important dans leur évolution en ce qui a trait à leur exploitation, à leur façon de gérer leurs activités, à leurs relations avec le gouvernement fédéral, à leurs collectivités et aux Autochtones. La 60e conférence annuelle de cette année s’attaquera à plusieurs sujets importants abordés dans l’Examen par l’entremise de conférenciers d’honneur et de panélistes intéressants provenant de partout dans le monde.

L’Examen arrive à un moment opportun alors que le monde du transport maritime et de la logistique de la chaîne d’approvisionnement continue d’évoluer à un rythme infernal. Des décisions déterminantes qui continueront de renforcer les capacités du Canada à titre de pays commerçant seront prises au cours de la prochaine année et les ports du Canada se réjouissent d’être des acteurs importants dans l’élaboration de la meilleure façon pour arriver à atteindre cet objectif.

Les 18 administrations portuaires du Canada sont plus que de simples points de correspondance clés sur des corridors de transport qui évoluent rapidement — elles façonnent et définissent le développement et la diversité économiques de leurs villes et régions. Elles créent de bons emplois, constituent les fondations stables d’une classe moyenne florissante et joueront un rôle déterminant dans tous les accords commerciaux futurs. Justement, « Bâtir pour l’avenir » sera le thème de l’anniversaire de diamant (le 60e) de la Conférence annuelle de l’Association des administrations portuaires canadiennes, tenue du 10 au 13 septembre à Saint John, Nouveau-Brunswick.

« Au nom de mon conseil d’administration et de notre équipe au Port de Saint John, nous sommes heureux d’accueillir notre Association nationale des administrations portuaires au troisième rassemblement le plus couru au Canada, où, ensemble, en compagnie de nos intervenants et de notre communauté, nous bâtissons pour l’avenir », déclare Jim Quinn, président-directeur général du Port de Saint John. « Le moment choisi pour tenir cette conférence est parfait pour présenter notre projet de 205 millions de dollars pour la modernisation de notre terminal de fret à fonctions multiples du secteur Ouest, de même que notre position en tant que principales destinations de croisière au Canada. »

À Saint John, les délégués pourront écouter les conférenciers parler des « ports de l’avenir » et de la façon que nous comptons nous y prendre pour qu’ils deviennent réalité, en mettant l’accent sur les thèmes économiques, environnementaux et sociaux, puisqu’ils ont un lien avec la communauté des ports et de l’expédition du Canada. Parmi les séances à surveiller, mentionnons notamment celles intitulées « Ville portuaire, ville chanceuse », « Le développement de ports résilients face au changement climatique », « Le rôle des ports dans un avenir durable » et « L’augmentation de la part du marché du Canada dans le secteur des croisières ».

Les délégués découvriront également l’hospitalité locale des Maritimes et du 3e plus grand port au Canada en termes de volume.

« L’AAPC est heureuse de réunir quelques-uns des plus grands cerveaux de l’industrie maritime pour nous attaquer aux sujets de pointe auxquels l’industrie portuaire est confrontée aujourd’hui », indique Wendy Zatylny, présidente de l’Association des administrations portuaires canadiennes.

Suivez la Conférence de l’Association des administrations portuaires canadiennes sur Twitter @ACPA_AAPC #ACPA2018. Pour obtenir des renseignements supplémentaires, veuillez consulter le site suivant : www.acpa2018.ca.

À propos de l’Association des administrations portuaires canadiennes

Créée en 1958, l’Association des administrations portuaires canadiennes regroupe 18 ports et les intérêts maritimes connexes en une seule association nationale. En tant que principale association de défense des intérêts et d’avancement de l’industrie portuaire canadienne – représentant toutes les administrations portuaires canadiennes, diverses entités gouvernementales, ainsi que des compagnies du secteur maritime – l’AAPC défend les ports canadiens en ce qui concerne la politique gouvernementale, le commerce, la capacité concurrentielle et la sensibilisation du public en vue de contribuer à un transport durable.

Les membres de l’AAPC apportent une contribution importante à l’économie locale, régionale et nationale du Canada; en effet, ils sont responsables de près d’un quart de million d’emplois directs et indirects et ont donné plus de 22 millions de dollars à leurs collectivités locales (entre 2010 et 2014). En outre, chaque année, ils accueillent plus de 1,3 million de passagers de navires de croisière et contribuent à plus de 53 milliards de dollars en activité économique totale.

 

Source :

Mike Pitre
Directeur des communications
Association des administrations portuaires canadiennes
No tél. cell. : 613-407-7486
No tél. bureau : 613-232-2036, poste 203
Courriel : mpitre@acpa-port.net
www.acpa-ports.net

La Sodes et plusieurs élus de la Côte-Nord interpellent les candidats aux élections provinciales sur les bénéfices économiques et sociaux du transport maritime

La Sodes dévoile les résultats d’une étude sur les coûts sociaux externes du transport routier sur la Côte-Nord

Sept-Îles, le 4 septembre 2018 – La Société de développement économique du Saint-Laurent (Sodes) et l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord dévoilent aujourd’hui les conclusions d’une étude réalisée par la firme d’ingénieurs-conseils CPCS, mandatée par la Sodes, portant sur les coûts sociaux externes du transport sur la route 138, précisément sur le tronçon entre Tadoussac et Sept-Îles.

Cette étude présente les coûts externes engendrés par le transport routier sur la Côte-Nord, soit des coûts générés par les usagers de la route mais supportés par l’ensemble de la société. Les coûts sociaux externes incluent : les coûts associés aux accidents routiers, à la pollution (émission de gaz à effet de serre), à l’entretien de la route sur la portion étudiée, à la congestion et au bruit.

Le tronçon étudié entre Tadoussac et Sept-Îles (426 km) représente presque la totalité du trafic de la région (88 %).

L’ensemble des coûts sociaux externes associés au transport routier sur la Côte-Nord est estimé à 120,4 millions de $ par année, pour lesquels 28 % sont attribuables au camionnage, soit 33,7 millions de $ supportés annuellement par l’ensemble de la société québécoise.

« Cette étude illustre une fois de plus, combien le transport maritime – que l’on peut qualifier de transport en commun des marchandises – est un moyen d’atteindre nos cibles de réduction des émissions de gaz à effet de serre, en plus de contribuer à l’amélioration de la qualité de vie des populations en région et de réduire le fardeau fiscal sur l’ensemble de la société. » A déclaré Nicole Trépanier, présidente-directrice générale de la Sodes.

Pour le président de l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord, M. Réjean Porlier, cette étude vient confirmer ce que tout le monde dénonce depuis de nombreuses années : « La 138 est une route qui n’est pas adaptée aux besoins des usagers. Le manque de fluidité, particulièrement à la hauteur de Tadoussac et de Baie-Ste-Catherine où la congestion est régulière, fait en sorte que la cohabitation entre les fardiers et les autres usagers de la route est extrêmement périlleuse. »

Pour Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles, « Cette étude conclut clairement que toute action durable pour le transfert de volumes de marchandises au mode maritime peut représenter plusieurs dizaines de millions de dollars d’économie pour la collectivité, en plus de contribuer à la réduction significative des impacts environnementaux et l’amélioration de la sécurité routière. Par ailleurs, les infrastructures portuaires sont très présentes sur la Côte-Nord et ne demandent qu’à être mises à contribution pour servir de voies d’entrée sur notre belle autoroute bleue qu’est le Saint-Laurent. »

Contexte et objectif de l’étude

Au cours des dernières années, plusieurs études visant la promotion du transport maritime courte distance (TMCD) ont été réalisées sans que des projets de développement du TMCD ne voient le jour.

Alors qu’il semble, d’un point de vue strictement commercial, que peu de nouveaux projets puissent atteindre le niveau de rentabilité recherché par les partenariats privés, ceux envisagés sur la Côte-Nord apparaissent les plus prometteurs.

Par ailleurs, il appert que la faible rentabilité de tels projets s’explique par le fait que:

  • Contrairement aux infrastructures routières, le TMCD ne bénéficie pas de financement publique, ce qui le rend moins compétitif;
  • Les coûts sociaux externes sont peu, voire pas, internalisés dans les tarifs des différents modes de transport, ce qui ne reflète pas le coût total de chaque mode de transport et ne permet pas une comparaison réaliste des coûts du transport routier et du TMCD.

En internalisant les coûts sociaux externes propres à chaque mode de transport, l’industrie maritime affirme qu’elle serait en mesure d’offrir des tarifs compétitifs aux expéditeurs. C’est dans ce contexte que la Sodes a fait réaliser cette étude portant sur les coûts sociaux externes du transport routier sur la Côte-Nord.

Source :

Société de développement économique du Saint-Laurent (Sodes)
Céline Schaldembrand | Chargée des communications
Tél. : 418 648-4572, poste 203
Cell. : 418 520-9892
celine.schaldembrand@st-laurent.org

Renseignements :

À Québec

Société de développement économique du Saint-Laurent (Sodes)
Céline Schaldembrand | Chargée des communications
Tél. : 418 648-4572, poste 203
Cell. : 418 520-9892
celine.schaldembrand@st-laurent.org

À Sept-Îles

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Amélie Robillard | Conseillère en communications
Tél. : 418 962-2525 poste 2044
Cell. : 418 964-3344

Port de Sept-Îles
Pierre Gagnon | Président-directeur général
Tél. : 418 961-1223
Cell. : 418 960-4612