Saison 2015 des croisières internationales – Un bilan record confirmant la destination Saint-Laurent comme un incontournable auprès des compagnies de croisières internationales

QUÉBEC, le 26 nov. 2015 /CNW Telbec/ – La ministre du Tourisme, ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches et députée de Bellechasse, Mme Dominique Vien, a dévoilé le bilan officiel de la saison 2015 des croisières internationales compilé par l’Association des croisières du Saint-Laurent (ACSL). Elle était accompagnée du ministre délégué aux Transports et à l’Implantation de la stratégie maritime et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, M. Jean D’Amour, du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, du président de l’Association des croisières duSaint-Laurent et vice-président Croissance et Développement de l’Administration portuaire de Montréal, M. Tony Boemi, et du président-directeur général de l’Administration portuaire de Québec, M. Mario Girard.

Bilan record
Cette année, 29 navires différents de croisières internationales ont sillonné les eaux du Saint‑Laurent pour un total de 435 escales réparties dans les 9 ports, permettant à 373 880 passagers, soit 269 940 croisiéristes et 103 940 membres d’équipage, de les visiter. De ce nombre, 115 427 passagers ont été en situation d’embarquement ou de débarquement dans les ports de Québec et de Montréal, ces derniers générant des dépenses supplémentaires dans ces destinations. Ces résultats représentent une progression par rapport à ceux de 2014 alors que 348 escales de 27 navires différents avaient pu être observées dans les mêmes ports entre mai et novembre. Les ports les plus achalandés ont été ceux de Québec, de Montréal et de Saguenay qui ont respectivement été fréquentés par 45,1 %, 24,3 % et 12,2 % des passagers associés aux croisières internationales.

« C’est un bilan positif que j’accueille avec satisfaction. La notoriété de la destination québécoise augmente d’une manière constante auprès des compagnies de croisières, et ce, notamment en raison des activités de promotion et de la mise en œuvre des stratégies associées au Saint-Laurent développées par le ministère du Tourisme et ses partenaires associés au secteur des croisières internationales. Plusieurs escales ont eu le plaisir d’accueillir de nouveaux navires, qui plus est, 2015 marque le retour du Marco Polo qui après 35 ans d’absence fêtait le 50e anniversaire de sa première visite à Québec en 1966. Puisque le tourisme de croisière génère des dépenses touristiques annuelles de 145 M$ et que 1 600 emplois y sont associés directement, nous devons continuer de déployer les efforts nécessaires pour faire en sorte que le Saint-Laurent se positionne comme une destination de choix », a souligné la ministre Vien.

« C’est un bilan exceptionnel pour les croisiéristes qui nous est présenté aujourd’hui. L’accueil des bateaux de croisières est en constante progression depuis les dernières années et cela confirme que le Québec se positionne comme une destination de calibre international dans ce domaine. Avec la première Stratégie maritime du Québec, notre gouvernement permettra la modernisation des infrastructures d’accueil pour les croisiéristes à Québec et à Montréal en plus de soutenir les initiatives de mise en valeur du Saint-Laurent », a déclaré le ministre Jean D’Amour.

« L’industrie des croisières est une valeur ajoutée à l’économie de la région de Québec avec des retombées de près de 25 M$. Je me réjouis également de savoir que l’escale de Québec est la plus fréquentée parmi les 9 escales offertes dans la province. Les croisiéristes qui arrivent à Québec sont accueillis dans le décor enchanteur du Vieux-Québec. Ils ne peuvent qu’être séduits par cette expérience qui les plonge dans une autre époque », a mentionné le ministre Hamad.

« Sur la base des réservations qui ont été acheminées aux différentes escales du Saint-Laurent, nous pouvons d’ores et déjà affirmer que la saison prochaine sera aussi bonne, sinon meilleure que cette saison. C’est un beau signe de confiance de la part des compagnies de croisière, mais également la preuve que les efforts fournis ces dernières années par les escales pour améliorer l’accueil des croisiéristes portent fruit. Et nous continuerons à œuvrer dans cette direction pour offrir aux passagers le meilleur accueil de l’industrie », a déclaré M. Tony Boemi, président de l’Association des croisières du Saint-Laurent.

La Stratégie maritime – Volet tourisme
Le Programme Stratégie maritime – Volet tourisme vise le développement et le renforcement de l’offre touristique québécoise afin de faire du tourisme une industrie compétitive, durable, innovante et attractive pour les visiteurs du Québec et des marchés extérieurs.

Plusieurs projets novateurs se sont déjà concrétisés le long des rives du Saint-Laurent afin d’offrir un produit touristique intéressant pour les croisiéristes, mais aussi pour tous les Québécois. La ministre Vien fera d’ailleurs l’annonce prochainement d’autres projets dans différentes régions du Québec qui rehausseront une fois de plus l’offre touristique québécoise.

Portail Québec – Fil d’information

Le Port de Sept-Îles applaudit l’ouverture de l’antenne régionale de la Société du Plan Nord à Sept-Îles

SEPT-ÎLES, le 16 octobre 2015 – Le Port de Sept-Îles est très heureux de l’inauguration par le ministre des Ressources naturelles et responsable du Plan Nord, Pierre Arcand, de l’antenne régionale de la Société du Plan Nord à Sept-Îles, qui aura pignon sur rue au 818, boulevard Laure. Après Roberval, Baie-Comeau et Chibougamau, c’est au tour de la région de Sept-Îles de voir l’ouverture de son bureau régional qui sera le plus important en termes d’effectifs.

« Par l’ouverture de cette antenne régionale à Sept-Îles et l’embauche de quatre personnes-ressources connaissant déjà très bien le territoire, nous considérons que la Société pose les bons jalons afin d’assurer une mise en œuvre efficace des opportunités de notre vaste région dans le déploiement du Plan Nord. Disposant d’infrastructures portuaires stratégiques dont le nouveau quai multi-usager qui constitue maintenant le quai minéralier de plus grande capacité en Amérique du Nord, la proximité d’un bureau régional de la Société sera des plus bénéfiques et structurantes », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

« Ce vaste plan de développement, basé sur la concertation avec le milieu, arrive à point. Nous vivons une période de ralentissement avec la baisse du marché du fer qui touche la région et son arrière-pays. Le Plan Nord sera un tremplin dans la relance de notre économie par la création et le maintien d’emplois sur le territoire. La volonté du gouvernement de travailler de concert avec les représentants des régions, les communautés autochtones et le secteur privé sera l’élément clé du succès de cette initiative novatrice qui saura répondre aux réels besoins de notre région », de préciser monsieur Avit Ouellet, président du conseil d’administration du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 28 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Les ports canadiens repoussent les frontières

MONTRÉAL, Québec — Au premier abord, le concept d’un port semble simple : un navire arrive, il décharge ses marchandises, en embarque de nouvelles et reprend la mer.

Toutefois, en cette ère numérique et technologique, les ports du Canada jouent un rôle bien plus vaste et important. Au-delà du transport des marchandises, les ports sont au coeur de la gestion des données et ils fournissent une expertise en efficience logistique. Les ports d’aujourd’hui ne sont pas ce que l’on croit. Ils repoussent véritablement les frontières, thème choisi cette année pour la conférence annuelle de l’Association des administrations portuaires canadiennes (AAPC) qu’organise le Port de Montréal la semaine prochaine.

« Les ports modernes canadiens s’occupent de bien plus que le transport des marchandises, explique la présidente de l’AAPC, Wendy Zatylny. Ce sont des innovateurs, des moteurs économiques, des créateurs d’emplois, des entrepreneurs et des bâtisseurs communautaires ».

Les administrations portuaires canadiennes manutentionnent plus de 60 p. 100 du fret transporté par voie d’eau au Canada, dont la valeur s’élève chaque année à plus de 400 milliards de dollars. Cette activité soutient 250 000 emplois directs et indirects bien rémunérés. Quelque 300 nouveaux emplois sont créés pour chaque million de tonnes de nouvelles cargaisons transitant par ces ports.

La Conférence 2015 de l’AAPC qui dure deux jours portera sur l’industrie portuaire et comprendra des discussions approfondies de groupes d’experts sur divers sujets dont :

  • Les forces structurant la logistique de demain;
  • Les ports canadiens à valeur ajoutée;
  • Le défi de l’énergie;
  • L’innovation dans l’industrie maritime;
  • Accroître le commerce maritime;
  • L’importance des médias sociaux.

Au nombre des conférenciers qui feront des présentations aux délégués, on compte Benoit Montreuil, professeur à la Georgia Tech, Frank Geerkens, ambassadeur portuaire, Port d’Anvers, Danielle Goldfarb du Conference Board of Canada, et Michel Juneau-Katsuya, spécialiste en sécurité et en renseignement.

« Fort de son propre vaste réseau d’infrastructures, le Port de Montréal illustre bien que les ports sont des moteurs de développement économique, qu’ils stimulent l’investissement et créent des emplois, a déclaré Sylvie Vachon, PDG du Port de Montréal hôte de la Conférence 2015 de l’AAPC. Oui, nous transportons des marchandises, mais nous fournissons aussi des emplois, des terrains, des lignes de chemin de fer et des emplois, nous recueillons des renseignements et facilitons le mouvement des produits et services –et tout cela appuie les familles canadiennes et notre mode de vie ».

La conférence se terminera jeudi matin par une visite privée du Port de Montréal.

L’événement comprend également un salon commercial qui offre aux exposants de l’industrie maritime une occasion unique de montrer leurs services et de réseauter avec les délégués et les dirigeants des membres de l’AAPC. Les médias accrédités peuvent assister aux séances d’affaires, mais ils doivent s’inscrire sur le site Web, sous l’option laissez-passer pour la presse.

Suivez l’Association des administrations portuaires canadiennes sur Twitter @MTLACPA2015. Pour de plus amples renseignements, rendez-vous à l’acpa2015.ca.

 

À propos de l’Association des administrations portuaires canadiennes :

Créée en 1958, l’Association des administrations portuaires canadiennes regroupe les ports, les havres et les intérêts maritimes connexes en un seul organisme national. Elle représente toutes les administrations portuaires canadiennes, diverses entités gouvernementales, ainsi que des compagnies du secteur maritime, et elle sert de principale association pour la défense des intérêts et le progrès de l’industrie portuaire canadienne. Les membres de l’AAPC manutentionnent audelà de 400 milliards de dollars en marchandises par année et ils génèrent plus de 250 000 emplois directs et indirects. Leur apport à l’économie locale, régionale et nationale du Canada est considérable.

Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec :

Kalvin Reid, consultant
ENsight Canada
Cellulaire : 289.241.7936
kreid@enterprisecanada.com
acpa-ports.net

Ouverture du site d’exposition du Hermel

SEPT-ÎLES, le 14 août 2015 – Le Port de Sept-Îles, en partenariat avec Destination Sept-Îles Nakauinanu, a procédé, aujourd’hui, à l’ouverture officielle du site d’exposition du Hermel, qui sera dorénavant mis en valeur dans l’édifice de la Marina, propriété du Port de Sept-Îles.

C’est dans le cadre du développement de la stratégie d’accueil des croisières internationales que le Port et Destination Sept-Îles Nakauinanu ont voulu rendre l’exposition du Hermel accessible aux croisiéristes ainsi qu’aux touristes et toute la population. Pour ce faire, l’édifice de la Marina a subi des travaux, au cours des dernières semaines, afin de réaménager les installations et les services afin de permettre l’aménagement d’un espace pour la mise en valeur du précieux navire transatlantique. Dans cette optique, une console interactive a été installée près du Hermel pour permettre de découvrir le fameux bateau et d’en apprendre davantage sur son périple de plus de quatre mois à travers l’Atlantique.

En plus de devenir le nouveau port d’attache du mythique bateau de Mylène Paquette, le bâtiment de la Marina abritera désormais un point de services de Tourisme Sept-Îles avec un kiosque d’interprétation de la baie de Sept-Îles. Ainsi, jusqu’à la fête du Travail, Tourisme Sept-Îles sera présent sur place pour animer les visites et répondre aux questions des visiteurs. Les heures d’ouverture sont de 8 h à 20 h, et ce, 7 jours par semaine. Par la suite, la visite du Hermel sera possible pour les groupes scolaires ou autres, sur demande.

« Grâce à la force du partenariat, la mise en exposition du Hermel dans les enceintes du Port de Sept-Îles est maintenant accomplie. La collaboration étroite de Tourisme Sept-Îles et du Club nautique, dans le projet piloté par Destination Sept-Îles Nakauinanu, doit également être souligné, car aujourd’hui, c’est avec l’aide de ces précieux partenaires que le Hermel peut jeter l’ancre à la Marina du Port de Sept-Îles », a indiqué monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

« Le Hermel représente le monde maritime. Il a emprunté quasi le même trajet que la plupart des minéraliers qui transitent dans le port et sa courageuse capitaine est une force de la nature. Ce joyau constituera un important pôle d’attraction pour la communauté, le milieu éducatif, les visiteurs, les touristes et les croisiéristes », a souligné madame Manon Langlois, présidente du conseil d’administration de Destination Sept-Îles Nakauinanu.

Rappelons que, c’est en avril 2014, que la proposition d’acquisition du Port de Sept-Îles a été retenue afin que ce symbole de courage, de ténacité et de performance, qui cadre avec les valeurs du Port de Sept-Îles, soit dorénavant mis en valeur dans ses enceintes.

LE MS MARCO POLO ARRIVE EN VILLE
De la grande visite est attendue dans la baie ce dimanche. Le MS Marco Polo et ses 1 371 passagers et membres d’équipage accosteront, en effet, dès 14 h, à Sept-Îles. Il s’agit d’une première escale dans la région pour ce majestueux navire de croisières. Pour l’occasion, ambiance festive, animation et dégustations de produits du terroir seront à l’honneur au nouveau pavillon d’accueil du terminal des Croisières. La population est conviée à ce moment phare de la saison des croisières qui s’amorce. Le navire quittera lundi, à 19 h 30.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES
Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles figure parmi les plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de
4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Mario Sévigny
Chef d’escale
Destination Sept-Îles Nakauinanu
418 968-1231, poste 234

 

Le Port de Sept-Îles donne suite au dépôt d’une requête introductive d’instance de Pomerleau Inc.

Pour diffusion immédiate

SEPT-ÎLES, le 22 juillet 2015 Le Port de Sept-Îles désire donner suite au dépôt par Pomerleau inc. d’une requête introductive d’instance, à la Cour supérieure du district de Mingan, pour réclamer des frais supplémentaires, pertes et dommages aux termes de la convention de marché pour la partie civile et structure du quai multi-usager.

Le Port de Sept-Îles entend analyser, avec ses procureurs, la requête déposée. Cependant, le Port a déjà conclu, l’automne dernier, qu’il y avait lieu de contester vigoureusement toute somme supplémentaire ainsi réclamée par l’entrepreneur Pomerleau inc., au-delà du prix contractuel. Cette somme représente des coûts supplémentaires que ce dernier prétend avoir encourus, mais qui, dans les faits, résulteraient plutôt de l’imprévoyance de cet entrepreneur et de difficultés d’opérations dont il est le seul responsable.

En conséquence, le Port a demandé à ses procureurs de déterminer si des éléments nouveaux permettraient de réviser cette conclusion et, dans le cas contraire, de contester cette réclamation et d’évaluer la possibilité que le Port réclame lui-même de cet entrepreneur les dommages qu’il a subis à la suite des retards survenus tout au long du projet. Toute cette affaire étant maintenant entre les mains de ses procureurs, le Port de Sept-Îles n’émettra aucun autre commentaire.

 

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles figure parmi les plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Présentation du rapport de la phase I de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Sept-Îles, le 1er mai 2015 – La Ville de Sept-Îles, la Corporation de protection de l’environnement de Sept-Îles, Développement économique Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont déposé, ce matin, le rapport de la phase I de l’observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles qui a été dirigé par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST), un organisme à but non lucratif dont l’unique mission consiste à gérer l’unité de recherche en environnement et en santé au travail du Cégep de Sept-Îles.

« Je suis heureux du dépôt du premier bilan annuel suite à la création de cet observatoire à l’automne 2013. Cette démarche démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. À moyen terme, cette initiative permettra à la communauté d’obtenir une vision globale de la baie », d’affirmer M. Réjean Porlier, maire de la Ville de Sept-Îles.

« Intégrant les objectifs poursuivis de l’Alliance verte, la réalisation de cette première phase et celles subséquentes permettront de veiller à la protection de la richesse de nos écosystèmes marins, et ainsi, assurer une planification responsable s’appuyant sur les principes du développement durable. Cette démarche novatrice qui fut amorcée témoigne du leadership environnemental de notre milieu », de renchérir M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Dès le départ, les acteurs ont convenu de confier la réalisation du projet à l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) pour conserver l’acquisition de connaissances scientifiques dans le milieu ainsi que pour assurer la rigueur et l’expertise requise pour ces travaux de recherche.

« L’intégrité scientifique et l’éthique professionnelle des membres de l’équipe furent assurées et respectées tout au long de la réalisation du projet. Il est à noter que les données sont représentatives des conditions environnementales existantes lors des échantillonnages aux emplacements et aux moments choisis », d’informer Dre Julie Carrière, ing., chercheure et directrice de l’INREST.

Travaux

Les travaux réalisés en 2013 constituent une première étape dans la collecte de données permettant d’obtenir un portrait préliminaire de la qualité du milieu en période automnale. Pour ce faire,

  • Soixante (60) échantillons d’eau ont été recueillis et soumis aux analyses de laboratoire et soixante-quinze (75) relevés de température, salinité, conductivité et oxygène dissous ont été réalisés.
  • Vingt-cinq (25) échantillons de sédiments ont été recueillis et soumis aux analyses de laboratoire.

Conclusion

  • Tous les paramètres analysés pour la qualité de l’eau rencontrent les normes et critères en vigueur.
  • On remarque 3 dépassements d’une valeur de référence au niveau des sulfates.
  • Une analyse approfondie des bactéries présentes dans les effluents et dans le milieu marin devra être effectuée.
  • Aucun dépassement de normes pour la qualité des sédiments.
    • – Seuls certains critères pour la qualité des sédiments marins au Québec ont été dépassés notamment pour certains hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et certains métaux. Ces critères sont des concentrations d’effets rares (CER) et/ou des concentrations seuil produisant un effet (CSE) et/ou des concentrations d’effets occasionnels (CEO).

Recommandations

  • Lors des prochaines campagnes d’échantillonnage, la cueillette de données au cours des périodes printanièreset estivales devra être incluse.
  • Dans les prochaines campagnes quelques recommandations sont ou seront prévues à savoir :
    • – l’analyse des métaux et des matières en suspension dans l’eau;
    • – granulométrie des sédiments
    • – deux autres stations d’échantillonnage pour chaque analyse (eau et sédiments).
  • La Ville de Sept-Îles et les industries du secteur ont été invitées à ajouter certains paramètres dans leur échantillonnage de leurs points de rejets, ainsi qu’à fournir leurs données antérieures et futures.

« L’INREST nous confirme que les premiers résultats automnaux n’ont rien d’inquiétants, mais qu’il s’agit de données préliminaires puisqu’incomplètes. Le projet d’observatoire est évolutif et sera mis à jour au fur et à mesure des campagnes d’échantillonnage et en fonction des budgets disponibles. », de conclure M. Réjean Porlier, maire de la Ville de Sept-Îles.

Le rapport est disponible en ligne à l’adresse www.baie.septiles.ca. La population peut y adresser ses questions en complétant le questionnaire prévu à cet effet au plus tard le dimanche 31 mai 2015. Par la suite, toutes les questions reçues seront compilées et les réponses seront publiées sur ce site. Le délai de réponse sera fourni suite à l’évaluation du nombre et de la complexité des questions reçues. Le rapport sera aussi disponible sur les sites web du Port de Sept-Îles et de l’INREST. Une version papier est mise à la disposition pour consultation sur place à la Bibliothèque Louis-Ange-Santerre, au Centre Wilfrid-Gallienne à Moisie et au Centre communautaire Marguerite à Gallix.

Continuité

La phase II du projet, qui fut réalisée à l’automne 2014, a bien pris en compte les observations de la première phase. Le rapport de bilan annuel devrait être disponible à l’automne 2015. Un investissement de près de 170 000$ a été requis.

Pour ce qui est de la phase III, des investissements de près de 250 000$ seront requis et les partenaires du projet ont entrepris des démarches de participation financière auprès du gouvernement du Québec et de la grande industrie qui bénéficie du précieux écosystème qu’est la baie de Sept-Îles.

Rappelons qu’en plus de voir à fournir un portrait environnemental, ce projet poursuivait plusieurs objectifs dont :

  • actualiser et consolider des données et mesures reliées à l’environnement de la baie;
  • produire un rapport de suivi annuel à partir du traitement des données par l’INREST;
  • projeter la capacité du milieu à accueillir des projets acceptables et sécuritaires pour la population et l’environnement;
  • assister les entreprises existantes dans l’amélioration de leur performance environnementale, s’il y a lieu;
  • mesurer les résultats des efforts de conservation et d’amélioration environnementale dans la baie de Sept-Îles.

La phase I aura nécessité des investissements de près de 385 000 $ qui furent répartis entre les différents partenaires et commanditaires : Développement économique Sept-Îles a investi 50 000 $, le Port de Sept-Îles et la Corporation de protection de l’environnement ont défrayé à part égale 167 126.50 $.

Pour plus d’informations sur l’Alliance verte, vous pouvez consulter le site web www.allianceverte.org.

 

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Arrivé du M/V Happy Star avec les deux plus gros chargeurs à navire en Amérique du Nord

Credit_photo_1__Carl_AllardSEPT-ÎLES, le 12 février 2015 – Le Port de Sept-Îles est très heureux d’annoncer l’arrivée du M/V Happy Star, transportant les deux gigantesques chargeurs à navire destinés au quai multi-usager. Le navire a quitté le Port de Longxue, à Nansha en Chine, le 29 décembre dernier pour entreprendre son long périple de 10 275 miles nautiques d’une durée de 43 jours via le canal de Panama pour enfin arriver à Sept-Îles à 7 h 30 hier matin. Aussitôt arrivé, le M/V Happy Star s’est accosté au quai multi-usager afin de débuter sans tarder le déchargement des équipements qui viendront compléter l’infrastructure de classe mondiale en lui procurant la plus grande capacité de chargement en Amérique du Nord.

Le navire spécialisé pour ce genre de transport est la propriété de l’armateur de renommée mondiale,BigLift Shipping, spécialiste du transport de cargaison hors dimension sur la planète. L’armateur a prévu que le déchargement des deux chargeurs à navire et ses composantes pourra prendre de 14 à 21 jours étant donné la complexité de l’opération et l’ampleur des travaux à effectuer. Dans les faits, la cargaison qui consiste en deux chargeurs à navire, un élévateur, un chariot verseur ainsi que 27 galeries de convoyeurs représentent un total de 73 pièces, pesant au total 3 023 tonnes métriques, dont 1 200 tonnes pour chaque chargeur.

Le fabricant des chargeurs à navire, Sandvik Canada, a déployé une solution novatrice afin de transporter les chargeurs à navire, les convoyeurs et leurs composantes dans un seul navire et permettre le déchargement dans la bonne séquence afin d’optimiser l’érection sur le quai. De conception à la fine pointe technologique, il est opportun de signaler que les chargeurs à navire furent assemblés avec des composantes provenant d’Amérique du Nord pour la motorisation, l’électrification/instrumentation et que ces derniers furent préalablement acheminés par conteneur au site de fabrication.

Une construction toute récente, le M/V Happy Star en est à son premier voyage en Amérique du Nord avec cette cargaison plutôt peu fréquente et même exceptionnelle. En effet, le transport des chargeurs à navire a attiré l’attention des producteurs de l’émission Mighty Ships de la chaîne télévisée Discovery. Une équipe de tournage a même joint le navire lors de son passage au canal de Panama afin de produire un reportage sur le transport et le déchargement au Port de Sept-Îles de ces équipements géants hors du commun.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 28 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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Chemin de fer Arnaud se fait rappeler ses obligations de service ferroviaire

SEPT-ÎLES, le 30 janvier 2015 – Le Port de Sept-Îles est très heureux des dénouements concernant sa requête déposée au printemps dernier devant l’Office des transports du Canada (Office) en regard de la nature des voies qui rejoignent Pointe-Noire et de la notion de service du transporteur ferroviaire Chemin de fer Arnaud (CFA) pour son réseau entre la jonction Arnaud et la propriété du Port de Sept-Îles dans le secteur de Pointe-Noire.

En effet, dans le rapport déposé en début de semaine à la ministre des Transports, l’honorable Lisa Raitt, l’Office est venu clarifier le dossier en précisant l’intégration des deux voies ferrées reliant la propriété du Port dans le secteur de Pointe-Noire au réseau de la compagnie CFA, de même que leurs assujettissements aux exigences de la Loi sur les transports du Canada (LTC). Ceci étant, cela est venu confirmer la position du Port qui a toujours maintenu que lesdites voies desservaient Pointe-Noire, alors que CFA, malheureusement, ne l’entendait pas ainsi.

Le Port se réjouit également des commentaires de la ministre rendus publics dans les dernières heures à l’effet qu’elle accueillait favorablement le rapport de l’Office, et faisant également mention que les expéditeurs auront maintenant accès à des recours en vertu de la Loi sur les transports du Canada (LTC), ce qui est une bonne nouvelle pour les entreprises qui tentent de mettre en marché leur production.

Ces confirmations viennent rappeler au transporteur CFA son statut de chemin de fer à charte fédérale opérant avec un certificat d’aptitude lui imposant d’effectuer du transport ferroviaire selon la LTC et en fonction d’obligation de service vis-à-vis toute demande du marché pour son réseau entre la jonction Arnaud et les facilités publiques du Port de Sept-Îles du secteur de Pointe-Noire.

Ces clarifications surviennent à point en raison des demandes de service logées à CFA dans les dernières années et qui se sont butées à diverses problématiques qui furent alors soulevées devant l’Office le printemps dernier par le Port, ainsi que par de nombreux autres intervenants ayant déposé également des mémoires tels que Labrador Iron Mines, New Millenium, Tata Steel Minerals Canada, Mine Arnaud, Développement économique Sept-Îles ainsi que le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador.

Avec ces précisions, la compagnie CFA, ou toute autre éventuelle compagnie advenant une vente de cette dernière, est maintenant bien au fait de ses obligations et, en contrepartie, les futurs expéditeurs ou demandeurs de service ont maintenant recours pour assurer leur transport en vertu de la LTC.

Dans les faits et en pratique, CFA ne pourra plus prétendre autrement et devra « ouvrir la voie » au transport de diverses marchandises du service du traversier-rail, de même qu’aux expéditeurs dans le marché, et cela, en conformité avec la LTC.

« Ce dossier majeur pour la fluidité du trafic ferroviaire dans la région et l’arrière-pays a pu trouver son dénouement dans la force du nombre! C’est-à-dire grâce aux nombreux partenaires et intervenants qui ont appuyé la requête du Port devant l’Office en la bonifiant de par le dépôt de leurs propres dossiers. Nous leur en sommes des plus reconnaissants », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

« Le support étroit ainsi que l’intervention rapide du gouvernement fédéral de par l’enquête ministérielle lancée en décembre dernier par la ministre des Transports Lisa Raitt a également démontré l’engagement du gouvernement à contribuer activement au développement économique de notre région », de préciser monsieur Carol Soucy, président du conseil d’administration du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 28 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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2014 – L’année du 15e anniversaire dont on se rappellera

SEPT-ÎLES, le 21 janvier 2015 – Le Port de Sept-Îles est heureux de livrer aujourd’hui le bilan d’une année inoubliable qui a marqué la 15e année d’existence de l’administration locale du Port de Sept-Îles. Tout au long de l’année qui vient de s’écouler, de nombreux collaborateurs, organismes, partenaires et supporteurs de la communauté ont permis la programmation d’une pléiade d’activités pour célébrer cet anniversaire. Qu’il s’agisse de l’édition « Tous à bon Port » du Vieux-Quai en Fête où le Port s’est impliqué à titre de parrain d’honneur, ou bien lors du passage des quelques 4 000 visiteurs durant la Semaine maritime du Port qui fut lancée par le gouverneur général du Canada, Son Excellence le très honorable David Johnston, l’administration locale n’a surtout pas voulu rater sa chance de mailler encore plus étroitement avec sa communauté.

L’acquisition du dorénavant célèbre navire Hermel par le Port de Sept-Îles, en avril dernier, ainsi que le support de madame Mylène Paquette à la 5e édition du « 5 à Huîtres maritime » ont également constitué des faits marquants inoubliables de ce 15e anniversaire. De par l’acquisition de ce précieux artéfact, le Port a souhaité saisir l’opportunité de doter la région d’un actif symbolique pour l’attraction de visiteurs en région de même qu’en ce qui a trait aux volets éducatifs reliés au monde maritime.

Bilan des activités

Au bilan des volumes d’activités annuelles, on doit déplorer une baisse des activités de 14 % avec 23,8 millions de tonnes manutentionnées comparativement à 27,7 millions de tonnes pour l’an dernier. La fermeture définitive de la mine Scully de Mines Wabush, en février, ainsi que la mise en veilleuse des activités de Labrador Iron Mines à la suite des conditions défavorables du marché du fer expliquent principalement le ralentissement.

L’année 2014 aura également été marquée par la fin des travaux de construction du quai multi-usager au coût de 220 M$ ainsi que par la visite des lieux par le premier ministre Harper en octobre.

Impossible de passer sous silence les importantes retombées locales du plus grand chantier portuaire au pays avec près de 70 % de la main-d’œuvre régionale ainsi que la fourniture en biens et services par le milieu local de plusieurs dizaines de millions de dollars.

La livraison opérationnelle du quai est prévue au printemps avec la réception et l’installation des deux équipements de chargement au premier quart de l’année 2015. « La livraison de ce quai unique, de par sa taille et ses capacités en Amérique du Nord, ne peut arriver en de meilleurs moments afin de procurer des économies d’échelles importantes pour les nouveaux joueurs du marché du fer, précisément dans le contexte baissier prévalant pour l’instant », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Remerciements

Devant le franc succès des nombreuses activités de célébrations du 15e anniversaire, le Port de Sept-Îles se doit de remercier et souligner le support tous les nombreux collaborateurs tels le NCSM Jolliet, la Ville de Sept-Îles, l’équipe du Vieux-Quai en Fête, Destination Sept-Îles Nakauinanu, les nombreuses entreprises et organismes du milieu, ainsi que les nombreux bénévoles pour la grande réussite des évènements entourant le 15e anniversaire de LEUR ADMINISTRATION LOCALE du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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Le Port de Sept-Îles remet sa 28e canne au premier navire à mouiller dans les eaux du Port en 2015

MV_Cape_Nelson_au_at_Terminal_La_Relance__1 SEPT-ÎLES, le 6 janvier 2015 – Battant pavillon de Chine, en provenance de Imbituba, Brézil, le M/V Cape Nelson était le premier navire de l’année avec son arrivée à Sept-Îles enregistrée à 9 h 25 le 4 janvier 2015. Le navire, transportant 14 328 tonnes de Coke de pétrole à son arrivée pour l’Aluminerie Alouette, repartira le 7 janvier 2015 à destination d’un pays étranger.

Le capitaine Jin Qiu Ze s’est vu remettre, lors d’une brève cérémonie, la prestigieuse canne à l’effigie du Port de Sept-Îles par monsieur Shawn Grant, maître du Port.

Des cadeaux ont aussi été offerts en guise de reconnaissance par la compagnie Aluminerie Alouette ainsi que par les Agences Océaniques du bas St-Laurent.

Cette tradition, qui en est à sa 28e édition, souligne l’arrivée du premier navire de l’année à mouiller dans les eaux du port. Pour être éligible, le navire doit absolument provenir de l’étranger et quitter pour une destination à l’extérieur du pays.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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