Sept-Îles

Nos gens, nos racines

Nous sommes plus qu’un port international : nous sommes une organisation locale, gérée et dirigée par des gens d’ici. Alors que nous tendons la main aux navires du monde entier, nos regards demeurent résolument fixés sur Sept-Îles, où se trouvent nos gens, nos racines. Ce sont des regards contemplatifs devant nos merveilles naturelles, des regards bienveillants sur notre baie majestueuse, des regards admirateurs d’une communauté depuis toujours unie par la mer et, enfin, des regards visionnaires en quête d’un avenir toujours meilleur pour nos familles. Voici un bref coup d’œil sur une ville unique, où le Port plonge ses racines avec fierté!

Entrée en matière géographique

Sur le littoral nord du golfe du Saint-Laurent, juste au-dessus du 50e parallèle, une ville de quelque 30 000 habitants s’étend le long des rivages d’une baie magnifique de 45 km2. À l’entrée de ce vaste plan d’eau se dresse un archipel composé de sept îles, majestueux rempart naturel qui protège la ville dont elle a inspiré le nom. Bienvenue à Sept-Îles!

innu-aitun : une culture millénaire

La ville de Sept-Îles jouxte les communautés innues de Uashat et de Mani-utenam. Les Innus forment une nation autochtone qui habite le Labrador et le nord-est du Québec depuis des millénaires. Autrefois tributaires de la chasse et de la cueillette, ils migraient au rythme des saisons sur un vaste territoire, qu’ils appelaient le « Nitassinan ». Malgré son enracinement dans la vie sédentaire moderne, ce peuple résilient et fier baigne toujours dans une culture distinctive héritée des ancêtres nomades. Son patrimoine immémorial a résisté à l’épreuve du temps et de l’histoire, et forme de nos jours le socle identitaire de l’une des plus grandes nations autochtones du Québec.

À deux pas des merveilles sauvages

À Sept-Îles, le paysage urbain brille en plein cœur d’une nature idyllique. Au nord s’étend une vaste forêt boréale, peuplée d’épinettes noires, de bouleaux et de sapins baumiers. On y trouve une foule de lacs paisibles et des rivières poissonneuses qui attirent les adeptes de pêche du monde entier! La nuit, si l’on se trouve au bon endroit au bon moment, on peut assister à la danse céleste des aurores boréales. Au sud, des kilomètres de plage bordent le golfe du Saint-Laurent. La silhouette des baleines entre ciel et mer, les nuées d’oiseaux marins et les flancs verdoyants de l’archipel complètent ce décor enchanteur.

L’emblématique archipel

L’archipel des Sept Îles est un magnifique territoire insulaire âgé de 565 millions d’années. Ce patrimoine naturel de la ville, situé à l’entrée de la baie des Sept Îles, abrite un phare historique, un site de villégiature, une ferme maricole ouverte au public et l’un des plus importants refuges d’oiseaux marins de l’est du Canada. Outre les adeptes de la nature qui pratiquent la randonnée, la plongée sous-marine et la navigation de plaisance, on peut y voir le corps majestueux des baleines fendre la surface des eaux, des myriades de silhouettes ailées recouvrir le ciel et une foule d’autres merveilles sauvages!

On aime bouger et se surpasser

À Sept-Îles, le sport national est sans contredit le volley-ball. Chaque année, on y tient le Volleyball Orange Alouette, le plus grand tournoi de volley-ball amateur au Canada. L’engouement pour ce sport est tel que le Port de Sept-Îles a prêté une portion de ses terres situées près du Vieux-Quai pour qu’on y aménage des terrains de volley-ball de plage ouverts à tous. Les gens de Sept-Îles pratiquent aussi une foule d’autres sports et adorent tester leur performance lors de grandes compétitions.

Les bras longs de Sept-Îles

Deux grandes rivières sillonnent le nord de l’arrière-pays, traversent le territoire de Sept-Îles de part et d’autre de la baie et se jettent dans le golfe du Saint-Laurent : la sublime Sainte-Marguerite à l’ouest, source hydroélectrique depuis 1908; et la légendaire Moisie à l’est, réputée pour son saumon de l’Atlantique et ses gorges pittoresques.

Allons jouer dehors

À Sept-Îles, les gens adorent le plein air, en été comme en hiver! On y trouve bien sûr des pourvoiries, des sentiers pédestres, des stations de ski et des pistes cyclables, mais disons que, comme on ne manque pas d’espace dans la région, les possibilités sont infinies quand on veut sa dose d’air frais. Certains se retirent dans le calme de la forêt boréale tandis que d’autres recherchent plutôt l’excitation des eaux immenses du golfe, un terrain de jeu inestimable pour la baignade, le surf, le kayak, le kitesurf ou la plongée sous-marine.

Regards sur la baie

La ville de Sept-Îles s’étend le long d’une large baie de 45 km2 qui échancre les côtes du golfe du Saint-Laurent. Son écosystème unique abrite un marais salé, un herbier de zostère et une faune aviaire et marine diversifiée. Les adeptes de navigation de plaisance en profitent chaque été grâce à la marina, tandis que la promenade du Vieux-Quai et le sentier de la nature offrent aux promeneurs une vue imprenable sur ses splendeurs naturelles.

Eh oui! On a un jardin botanique

Bienvenue au jardin botanique le plus nordique du Québec! Le Jardin communautaire ruisseau Bois-Joli abrite plus de 14 000 plantations réparties dans 13 expositions thématiques le long d’un sentier de 5 km! On a même orné le parcours de quelques œuvres d’art locales. Et le plus beau dans tout ça : l’accès est gratuit en tout temps!

Les arts nous rassemblent

Une foule d’artistes et d’organismes contribuent à la vivacité culturelle de Sept-Îles. Tout le monde ici a vu les sculptures drôles et originales de Jean-Pier Synott, exposées au port et sur le sentier de la nature, ou encore assisté à l’un des spectacles de l’ensemble Tam ti delam, groupe de danse qui rend hommage au folklore québécois. Et qui n’a pas mis le pied au Salon du livre de la Côte-Nord, événement littéraire très en vogue dans la région? Qui n’a pas dansé le makusham au son du Festival Innu Nikamu, l’un des plus importants festivals d’art autochtone en Amérique du Nord? Et qui n’a pas célébré en famille son appartenance à la ville de Sept-Îles lors du Vieux-Quai en fête?

Un peu d’histoire au Vieux-Poste

Reconstitution fidèle du premier lieu d’échange commercial de la région, le Vieux-Poste de Sept-Îles recrée l’univers des coureurs des bois et des chasseurs innus dans la Sept-Îles de 1842. On y trouve un comptoir de traites, un campement innu, des expositions thématiques et des activités surprenantes pour toute la famille!

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Chaque année, nous soutenons des organismes qui œuvrent auprès de la communauté pour une vie plus saine et plus épanouie.

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Située entre le Vieux-Quai et le quai Mgr-Blanche, la Marina de Sept-Îles complète le décor enchanteur du « bas de la ville ».