L’année 2016 en revue

SEPT-ÎLES, le 17 janvier 2017 – Les volumes de marchandises manutentionnées dans le Port de Sept-Îles en 2016 ont connu une légère augmentation de 1 % avec 23 millions de tonnes versus 22,7 millions de tonnes en 2015. La compagnie minière IOC Rio Tinto a augmenté ses expéditions en 2016 avec 18,6 millions de tonnes versus 17,8 millions de tonnes l’année précédente. Tata Steel Minerals Canada a pour sa part réalisé des expéditions totalisant 1,6 million de tonnes en 2016 comparativement à 2,3 millions en 2015.

L’année en revue

L’année 2016 ne pouvait mieux débuter avec l’approbation par la Cour supérieure du Québec le 1er février, de la transaction du Port de Sept-Îles pour l’acquisition d’une partie des terrains de la minière Wabush dans le cadre des procédures de la compagnie en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers (C-36). L’acquisition de ce vaste territoire de 407 hectares permettait d’accroître l’espace pour son développement à proximité de ses trois infrastructures portuaires, soit le quai de Pointe-Noire, le quai de la Relance et le nouveau quai multi-usager.

Dans le même élan, le gouvernement du Québec, avec la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), en acquérant tous les autres actifs de la minière visés par la procédure de mise en vente sous la loi C-36, devenait un nouvel usager et partenaire pour le Port. Conséquemment, le Port et la SFPPN procédaient en décembre dernier à la signature d’ententes commerciales à long terme stratégiques et importantes pour assurer le plein potentiel du développement futur de la Pointe-Noire.

La Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles confirmaient en juin la poursuite des travaux de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles grâce à un nouveau partenariat financier pour réaliser la phase III impliquant la Société du Plan Nord, le Port de Sept-Îles, la Ville de Sept-Îles ainsi que la grande industrie de Sept-Îles.

Autre fait marquant de l’année fut le redémarrage des expéditions du quai de Pointe-Noire à l’automne avec le chargement de trois navires de minerai de fer, dont deux pour la SFPPN et un pour Tata Steel Minerals Canada. Ces expéditions ont marqué le début d’une nouvelle ère pour Pointe-Noire.

Dans le contexte difficile du marché du fer qui aura prévalu en 2016, le Port de Sept-Îles a dû composer avec de moindres revenus et prendre toutes les mesures pour restreindre ses dépenses d’opérations et d’investissements, ainsi que son programme d’aide au milieu.

« La clôture de l’année avec la signature des ententes avec la SFPPN et le redressement du prix du fer au cours des dernières semaines de 2016, nous permettent d’envisager une prochaine année sous l’angle de perspectives nettement plus positives et stimulantes que l’an dernier. Dans ce nouveau contexte plus favorable, le Port entend collaborer étroitement avec ses partenaires Développement économique Sept-Îles, la Chambre de commerce et la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), pour appuyer toutes futures démarches de diversification économique dont la région a bien besoin », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est l’un des plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
pkeays@portsi.com
418 961-1235

Le Port de Sept-Îles remet sa 30e canne au premier navire à mouiller dans les eaux du Port en 2017

SEPT-ÎLES, le 9 janvier 2017 – Battant pavillon des Îles Marshall, en provenance de Ghent en Belgique, le M/V AM Krakow était le premier navire de l’année, avec son arrivée à Sept-Îles enregistrée à 3 h 50 le 1er janvier 2017. Le navire, allège à son arrivée, s’est accosté le 8 janvier au quai no 2 de la compagnie minière IOC Rio Tinto et repartira aujourd’hui avec une cargaison de 78 580 tonnes de minerai de fer à destination de Ghent en Belgique.

Le capitaine Maini Ashish s’est vu remettre, lors d’une brève cérémonie, la prestigieuse canne à l’effigie du Port de Sept-Îles par monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles, ainsi que par messieurs Thierry Martel, chef des opérations IOC Rio Tinto et Maurice McClure, vice-président, Finances et stratégies.

Cette tradition, qui en est à sa 30e édition, souligne l’arrivée du premier navire de l’année à mouiller dans les eaux du Port et l’importance du transport maritime au sein de l’activité économique de notre région. Pour être éligible, le navire doit absolument provenir de l’étranger et quitter pour une destination à l’extérieur du pays.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est l’un des plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
pkeays@portsi.com
Port de Sept-Îles
418 961-1235

 

  • Pierre D. Gagnon, président-directeur général, Port de Sept-Îles;
  • Shardul Kumar, chef ingénieur, M/V AM Krakow;
  • Maurice McClure, vice-président, Finances et stratégies, IOC Rio Tinto;
  • Capitaine Maini Ashish, M/V AM Krakow;
  • Thierry Martel, chef des opérations, IOC Rio Tinto.

Des ententes stratégiques pour la Relance de la Pointe-Noire

Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles à gauche et Pierre Bolduc, directeur général de la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire à droite, accompagnés des représentants du milieu socio-économique de Sept-Îles.

SEPT-ÎLES, le 7 décembre 2016 – Le Port de Sept-Îles (PSI) est heureux de procéder aujourd’hui à la signature d’ententes commerciales à long terme avec son nouveau partenaire et client, la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN).

Ces ententes sont importantes pour les deux parties, car elles ont pour objectif d’assurer dès maintenant et pour le futur, le plein potentiel du développement de la Pointe-Noire.

À titre de sociétés pleinement engagées pour desservir les besoins du marché avec une approche « multi-usager », le PSI et la SFPPN ont prévu à l’intérieur du cadre des ententes signées aujourd’hui, les principaux éléments/principes suivants :

  • l’usage des équipements de chargement de la SFPPN sur le quai de Pointe-Noire du PSI;
  • les considérations pour effectuer les travaux de connexion requis entre les aires d’entreposage de minerai et les installations du quai multi-usager;
  • l’usage des terrains où reposent les installations d’entreposage et de manutention construites en 2010 par la compagnie Consolidated Thompson;
  • les considérations pour l’intégration future des besoins d’expédition maritime de divers projets miniers de la région de Sept-Îles et de la fosse du Labrador.

Pour le PSI, c’est une nouvelle page d’histoire qui débute avec l’arrivée de la SFPPN comme nouveau propriétaire et client. C’est dans ce nouveau contexte beaucoup plus structurant que des échanges profitables ont été réalisés par les deux parties pour conduire à des ententes novatrices et bénéfiques qui assureront dorénavant que les infrastructures de Pointe-Noire soient accessibles et disponibles pour répondre à toutes les opportunités.

À cet égard, le PSI souhaite également reconnaître l’approche novatrice envisagée par le gouvernement du Québec dans la mise sur pied d’un modèle de société en commandite telle que la SFPPN, à laquelle se joindront d’éventuels partenaires miniers ou autres afin de partager l’usage des actifs et les frais associés.

« Ces ententes arrivent au parfait moment pour épauler notre industrie minière dans ses efforts de développement dans un contexte de marché du fer en redressement, ainsi que dans une période où la région a bien besoin de projets de diversification », d’ajouter monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du PSI.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est l’un des plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

Bilan positif de la saison des croisières à Sept-Îles

Le Crystal Serenity et Silver Whisper dans la baie de Sept-Îles / Crystal Serenity and Silver Whisper in the baie of Sept-Iles

Sept-Îles – Lundi, 14 novembre 2016 – Destination Sept-Îles Nakauinanu dresse une fois de plus un bilan positif de sa dernière saison des croisières internationales.

L’année 2016 a été particulièrement marquée par l’accueil simultané de deux navires, soit le Crystal Serenity et le Silver Whisper. Cette étape constitue un jalon important dans l’histoire de Destination Sept-Îles Nakauinanu qui, pour la première fois, opérait deux sites en vue d’accueillir les quelque 2500 passagers et membres d’équipage qui ont pu découvrir tout ce que Sept-Îles a à offrir.

Le succès incontestable du défi logistique présenté par cette double-escale s’est attiré les éloges aussi bien des tour-opérateurs que des membres de l’industrie présents lors de cette journée. Forte de l’incroyable synergie affichée par l’ensemble des partenaires à l’occasion de cet événement historique, cette réussite envoie encore une fois un message fort à l’industrie et ouvre la voie à de nouvelles perspectives d’affaires pour le futur de l’organisation.

Quatre navires, totalisant 4319 passagers et membres d’équipage, ont par ailleurs été accueillis au cours d’une saison 2016 ponctuée d’une hausse importante du taux de débarquement. Le Marco Polo a été le premier navire à mouiller dans la baie de Sept-Îles, l’honorant d’une nouvelle visite après un passage prolongé d’une nuitée remarquée en 2015. Enfin, les honneurs de clôture de la saison sont revenus au Silver Whisper qui a effectué un retour à Sept-Îles à la suite d’un premier passage lors de la double-escale de septembre.

La saison 2017 s’annonce comparable pour Destination Sept-Îles Nakauinanu qui, en plus de recevoir les navires de deux nouvelles lignes de croisières, Oceania et Seven Seas, célèbrera sa 10e année d’opération. La ville accueillera, lors de cette année, un nombre constant de passagers et membres d’équipage et aura le privilège de recevoir une nouvelle fois les navires Marco Polo et Saga Sapphire qui complèteront la saison. Il s’agira d’une saison déterminante pour l’organisation qui se prépare à accueillir l’année suivante le Queen Mary II, véritable gage de confiance de l’industrie. En choisissant Sept-Îles dans le cadre de son itinéraire 2018 sur le Saint-Laurent, Cunard consacre la place du port d’escale au rang de destination de choix sur le fleuve.


Source

Vincent Roy-Bérubé
Chef d’escale intérimaire
Destination Sept-Îles Nakauinanu
dsin@portsi.com
Tél.: 418-968-1231 poste : 234
www.destinationsept-iles.com

Le Port de Sept-Îles conteste l’avis de résiliation de New Millennium Iron Corp. et apporte rectification

SEPT-ÎLES, le 30 juin 2016 – Le Port de Sept-Îles désire confirmer la réception d’un avis de résiliation de la part de New Millennium Iron Corp. (NML) en date du 28 juin en relation avec le contrat du quai multi-usager du Port.

Le Port considère que l’avis de résiliation reçu de NML est illégal, et que la société ne peut mettre fin unilatéralement au contrat. Le Port se réserve tous les droits à cet égard, notamment celui de réclamer des dommages dans l’éventualité où NML faisait défaut de respecter le contrat dans son intégralité.

RECTIFICATION

Contrairement aux allégations de la société NML dans son communiqué de presse du 10 mai dernier, NML a libre accès aux terrains du Port de Sept-Îles depuis la signature du contrat en 2012. Depuis ce temps, NML a la capacité légale et physique d’y implanter ses équipements et convoyeurs requis, ces derniers découlant entièrement de sa responsabilité et à ses frais comme stipulé au contrat, afin d’éventuellement procéder à l’expédition de son minerai à partir du nouveau quai multi-usager.

Avec le contexte difficile du marché du fer qui prévaut actuellement, le Port entend maintenir sa collaboration et son étroite liaison avec les entreprises du secteur afin de déployer les efforts requis pour les assister pendant cette période difficile.

Suivant ces précisions, le Port n’émettra aucun autre commentaire.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles figure parmi les plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Le Port de Sept-Îles intente des procédures judiciaires contre Champion

SEPT-ÎLES, le 22 juin 2016 – Le Port de Sept-Îles a signifié dans les dernières heures à Champion Iron Mines ltée (Champion) un avis d’arbitrage en vertu du mécanisme prévu au Contrat du quai multi-usager du Port (le Contrat).

L’avis d’arbitrage a pour objectif de contraindre Champion à respecter ses obligations contractuelles et, plus précisément, à acquitter en son entièreté le paiement d’entrée convenu au Contrat, soit la somme de 19 581 000 $, plus intérêts.

L’arbitrage se déroulera conformément au Code de procédure civile du Québec, lequel prévoit notamment le processus de nomination de l’arbitre ainsi que le déroulement de l’arbitrage.

Rappelons que cinq usagers ont signé le Contrat en 2012 pour permettre la construction du nouveau quai. Le refus de Champion de compléter le versement du paiement d’entrée en 2013 a eu pour conséquence de transférer indûment au Port des charges financières importantes et non prévues. Par ces procédures judiciaires, le Port souhaite protéger ses intérêts ainsi que ceux des autres usagers partenaires au Contrat, et ce, en rappelant à Champion son devoir de respecter ses obligations contractuelles.

En marge du différend avec Champion, le Port entend maintenir sa collaboration et son étroite liaison avec le gouvernement du Québec par l’intermédiaire de sa société en commandite, la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), afin de déployer tous les efforts pour la relance à court terme des actifs de Pointe-Noire et de la mise en service du quai multi-usager.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles figure parmi les plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles – Lancement des travaux de la phase III

Sept-Îles, le 16 juin 2016 – La Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont souligné aujourd’hui le lancement des travaux de recherche de la phase III de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles. Cette étude d’envergure est réalisée par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST).

Les différents aspects qui seront étudiés par l’INREST dans cette troisième phase sont notamment :

  • Caractérisation physio-chimique et microbiologique de l’eau;
  • Caractérisation des sédiments et granulométrie;
  • Zostères, macroalgues, zooplanction;
  • Études réalisées à partir de rapports et/ou données existantes dont les courants marins, décharges de sédiments, couvertures de glace, décharges municipales et industrielles, et les mammifères marins.

Les travaux de la phase III s’échelonneront sur deux ans, soit durant les saisons printanière, estivale et automnale de 2016 et 2017 et se termineront par l’émission d’un rapport en 2018.

Le financement de cette troisième phase de recherche, dont le coût est évalué à 650 000 $, est assuré par un important partenariat avec la Société du Plan Nord, qui finance le tiers du projet. Les entreprises Aluminerie Alouette, Compagnie minière IOC, Mine Arnaud, New Millennium Iron et Tata Steel Minerals Canada se partagent un autre tiers. Le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles en financent ensemble le dernier tiers.

Le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles sont heureux et fiers d’accueillir la Société du Plan Nord et les grandes entreprises de Sept-Îles dans ce projet unique et avant-gardiste. « Leur contribution permet la poursuite de cette démarche fort importante pour la région. Ce partenariat élargi est salutaire et vient enrichir la démarche », déclarent messieurs Réjean Porlier, maire de la Ville de Sept-Îles et Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À propos de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Lancé en 2013, l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles est une démarche novatrice de caractérisation de l’écosystème de la baie, qui démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Elle vise à obtenir une vision globale de la baie, ainsi qu’un outil de suivi pour le futur.

Sources :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
Tél. : 418 961-1235

Amélie Robillard
Conseillère en communications
Ville de Sept-Îles
Tél. : 418 964-3344

Pour entrevue :

Ville de Sept-Îles
Réjean Porlier, maire
Tél. : 418 964-3211

Port de Sept-Îles
Pierre D. Gagnon, président-directeur général
Tél. : 418 968-1231, poste 223

INREST
Dre Julie Carrière, directrice et chercheure
Tél. : 418 962-9848, poste 369

Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles Présentation du rapport de la phase II

 

Sept-Îles, 10 mai 2016 – La Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont déposé aujourd’hui le rapport de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles.

L’étude (phase II), qui visait notamment la caractérisation des sédiments de la baie, a été réalisée en 2014 et 2015, par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST), en collaboration avec des chercheurs de l’Observatoire global du St-Laurent (OGSL), de l’Institut des sciences de la mer (ISMER) et de l’Université du Québec à Rimouski. Les paramètres suivants étaient à l’étude de cette seconde phasede recherche : la qualité des sédiments (matière organique, granulométrie, analyses physicochimiques), la communauté benthique, l’analyse de l’eau et la deuxième étape de l’étude sur la luminosité.

« À ce stade de réalisation, les données recueillies ne sont pas suffisantes pour conclure ou statuer sur l’état de la baie. Les travaux devront donc être complétés afin de permettre de réaliser un portrait de la baie de Sept-Îles. Les pistes de réflexion et les recommandations émises ont pour but d’orienter et de cibler les travaux de recherches des phases subséquentes. » mentionne la Dre Julie Carrière, directrice et chercheure à l’INREST.

Contexte de l’étude

Cette seconde phase d’analyse s’inscrit dans le projet global d’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles dont les objectifs sont de :

  • Connaître l’état actuel de la baie;
  • Mesurer et prévoir les impacts environnementaux sur l’écosystème de la baie;
  • Suivre à court, moyen et long termes l’évolution des différentes composantes analysées en mettant en place un mécanisme de veille environnementale;
  • Outiller les intervenants dans leur prise de décision et leur gestion environnementale,dans une optique de développement durable;
  • Répondre aux attentes et aux préoccupations émanant du milieu.

Lancée en 2013, cette démarche novatrice de caractérisation de l’écosystème de la baie de Sept-Îles démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Cette initiative vise à obtenir une vision globale de la baie, ainsi qu’un outil de suivi pour le futur.

« Cette démarche de recherche scientifique intégrée et continue, constitue une première sur le Saint-Laurent. À ce titre, cela témoigne du leadership environnemental que la Ville et le Port souhaitent exercer afin de veiller à la protection de la richesse des écosystèmes marins de la baie de Sept-Îles tout en y assurant une planification responsable s’appuyant sur les valeurs du développement durable. » affirme M. Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Pour le maire de Sept-Îles, M. Réjean Porlier, « la réalisation de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles permet d’assurer une continuité de la phase I, réalisée en 2013, et d’améliorer les connaissances de ce secteur, pour éventuellement être capable d’envisager les actions requises pour en assurer le maintien de la qualité à long terme. »

Phase III

La phase III de l’étude s’amorcera dès le printemps 2016.Les travaux sont évalués à 650 000 $, financés conjointement par la Ville, le Port de Sept-Îles, la Société du Plan Nord et l’entreprise privée. Une annonce officielle quant au lancement des travaux devrait d’ailleurs être faite au cours de prochaines semaines.

Rappelons que la phase I avait nécessité des investissements de 385 000 $, répartis entre le Port de Sept-Îles, la Corporation de protection de l’environnement et Développement économique Sept-Îles. La réalisation de la phase II de l’étude s’est effectuée au coût de 161 000 $, assumé à parts égales entre le Port et la Ville de Sept-Îles.

Pour consulter le rapport

Le rapport complet de la phase II ainsi qu’une présentation sommaire seront disponibles en ligne au baie.septiles.ca, et sur les sites Internet du Port de Sept-Îles et de la Ville de Sept-Îles. Comme pour la phase I, la population pourra y adresser ses questions en complétant le questionnaire prévu à cet effet, au plus tard le 10 juin 2016. Toutes les questions reçues seront compilées et les réponses seront publiées sur le site. Le délai de réponse dépendra de la quantité et de la complexité des questions reçues.

Une version papier du rapport sera mise à la disposition du public, pour consultation sur place, à la Bibliothèque Louis-Ange-Santerre, au Centre Wilfrid-Gallienne à Moisie et au Centre communautaire Marguerite à Gallix.

À propos de l’INREST

L’INREST est un organisme rattaché au Cégep de Sept-Îles qui a le mandat de gérer son unité de recherche en environnement et en santé au travail. Sa mission est de réaliser des activités de recherche en lien avec les sciences de l’environnement et de la santé au travail dans le cadre d’activités appliquées à l’environnement nordique. Les objectifs de l’INREST visent à développer des projets innovateurs à caractère appliqué tenant compte des préoccupations de développement durable, à assurer un soutien scientifique à la prise de décision et à mesurer les impacts sur la santé de la population et la sécurité des travailleurs. L’INREST favorise la mise en commun des ressources des partenaires pour proposer des solutions aux défis posés par le développement nordique.

Sources :

Patsy Keays
Directrice des affaires corporatives
Port de Sept-Îles
Tél. : 418 961-1235

Amélie Robillard
Conseillère en communications
Ville de Sept-Îles
Tél. : 418 964-3344

Pour entrevue :

Ville de Sept-Îles
Réjean Porlier, maire
Tél. : 418 964-3211

Port de Sept-Îles
Pierre D. Gagnon, président-directeur général
Tél. : 418 968-1231, poste 223

INREST
Dre Julie Carrière, directrice et chercheure
Tél. : 418 962-9848, poste 369

Sommaire du rapport de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Sept-Îles accueillera le légendaire Queen Mary II en 2018

Sept-Îles – mardi 10 mai 2016 – Les efforts consentis ces dernières années par Destination Sept-Îles Nakauinanu et ses partenaires, soit la Ville de Sept-Îles, le Port de Sept-Îles et ITUM, ont mené l’organisation à figurer, pour la toute première fois, sur la liste des ports d’escale qui seront visités en 2018 par le renommé navire RMS Queen Mary II, de la ligne de croisière britannique Cunard.

Des efforts qui portent fruit

Destination Sept-Îles enregistre déjà plusieurs réservations pour les saisons 2017 et 2018. Parmi les navires qui visiteront notre port d’escale en 2017, le MS Insignia, de la ligne de croisière américaine Oceania Cruises, mouillera pour la toute première fois dans la baie de Sept-Îles durant son itinéraire Around The World in 180 Days, lors d’une escale estivale prévue le 22 juin 2017. La saison 2018 s’annonce quant à elle toute aussi prometteuse, plusieurs grands navires ayant déjà manifesté leur intérêt.

Sept-Îles est d’ailleurs fier de figurer parmi les ports d’escale choisis dans l’itinéraire du Queen Mary II sur le Saint-Laurent en septembre 2018. Cette réservation représente la consécration d’un travail de développement et de démarchage échelonné sur plusieurs mois, voire des années.

La présidente, Manon Langlois, souligne le fait que la collaboration soutenue des partenaires est au cœur du succès des négociations entreprises avec la ligne de croisières :

« La réservation du quai par le Queen Mary II est le résultat du travail acharné de tous les partenaires impliqués dans le développement des croisières internationales à Sept-Îles. Nous allons tout mettre en œuvre pour livrer la marchandise aux lignes de croisière Cunard et Carnival UK, pour faire en sorte qu’ils renouvellent leur confiance en notre escale et qu’éventuellement ils positionnent d’autres navires de leur flotte chez nous. »

Le Chef d’Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam, M. Mike McKenzie, insiste aussi sur l’importance du partenariat avec l’organisation dans la diffusion de la culture innue auprès des croisiéristes internationaux :

« Nous sommes fiers de nous être associés à Destination Sept-Îles Nakauinanu afin de faire rayonner notre culture, avec ses activités traditionnelles, qui reflète grandement notre appartenance à la terre-mère et de pouvoir la partager avec les croisiéristes qui nous rendent visite à chaque année. »

Lors de la construction du quai des croisières, c’est avec les spécifications du Queen Mary II que les plans ont été élaborés, en vue de recevoir un jour cet imposant navire. Le Port de Sept-Îles se réjouit aussi de permettre une réunion entre le célèbre navire transatlantique et le Hermel. Rappelons que Mylène Paquette avait croisé le Queen Mary II dans l’Atlantique Nord en septembre 2013, et que ce dernier lui avait porté une précieuse aide en lui envoyant, entre autres, des produits frais.

« Quel tour de force de Destination Sept-Îles Nakauinanu, d’avoir su arrimer la venue de ce navire prestigieux du monde des croisières internationales, et permettre à nouveau la rencontre des deux vaisseaux émérites, non pas en plein Océan Atlantique, mais au Port de Sept-Îles – Port d’attache du Hermel, célèbre navire à rames océanique et de sa courageuse capitaine, madame Mylène Paquette », de déclarer Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Le maire de Sept-Îles, Réjean Porlier, assure que cet évènement constituera un jalon historique important pour la ville :

« Nous allons profiter d’une vitrine incroyable sur le monde entier. La population se souviendra longtemps du passage de ce navire, j’en suis certain. Ce sera le plus gros navire reçu chez nous jusqu’à maintenant et on redoublera d’effort pour maximiser les retombées économiques et faire en sorte que la population en profite, comme toujours, mais particulièrement lors de cette visite historique. »

Le RMS Queen Mary II n’est pas seulement l’un des plus grands navires de croisière en mer; il est considéré comme étant le plus prestigieux d’entre tous. Récemment rénové, il tient à son bord plus de 3 800 passagers et membres d’équipage.

À PROPOS DU QUEEN MARY II

  • Année de mise en service : 2004
  • Tonnage brut : 151 400 tonnes
  • Longueur : 345 mètres
  • Largeur : 40 mètres

2016 : une saison transitoire

Beaucoup de changements et de nouveautés s’opèrent actuellement dans l’industrie des croisières et ce, à l’échelle internationale. Avec l’ajout, entre autres, de nouvelles destinations tel que la Chine ou Cuba, les escales du Saint-Laurent doivent se renouveler et se démarquer pour demeurer compétitives. La nouvelle chef d’escale en poste, Marie-Eve Duguay, a affirmé :

« Cette période de transition va nous permettre de consolider nos acquis et de développer de toutes nouvelles opportunités. De nouveaux enjeux se présentent à nous, et on se en bonne position pour y faire face ensemble. Notre destination a vécu sa phase de développement au niveau des infrastructures, on passe maintenant en deuxième vitesse, en mode croissance et notoriété. »

Moment fort de la saison 2016, 2420 passagers et membres d’équipage de deux navires américains, soit le Crystal Serenity et le Silver Whisper, nous visiteront simultanément le lundi 26 septembre.

Notre ville accueillera cet automne plus de 4300 passagers et membres d’équipage au total. Depuis bientôt dix ans, l’escale Sept-Îles a accueilli plus de 45 000 passagers et membres d’équipage à son port. L’horaire complet de la saison 2016 pour l’escale Sept-Îles est disponible sur le site cruisestlawrence.com.

Destination Sept-Îles Nakauinanu est un organisme à but non lucratif ayant pour mission de mettre en valeur la destination touristique de l’escale de Sept-Îles auprès des lignes de croisières internationales.

Pour information :

Marie-Eve Duguay, chef d’escale
Destination Sept-Îles Nakauinanu
meduguay@portsi.com | Tél: 418-961-1228

Déclaration de Wendy Zatylny, présidente de l’Association des administrations portuaires canadiennes, au sujet de la publication du budget fédéral canadien

L’AAPC se réjouit de la reconnaissance, dans le budget fédéral, de l’importance que revêtent les infrastructures pour la création de bons emplois, bien rémunérés, et la croissance économique durable, mais elle estime qu’il faudrait préciser davantage les possibilités qui s’offrent aux ports dans cette enveloppe budgétaire.

Les ports demeurent de puissants moteurs de commerce pour le Canada, mais ils doivent pouvoir s’adapter aux forces du marché en évolution constante. Une plus grande autonomie, une commercialisation accrue et l’élimination des obstacles à la souplesse financière permettraient aux administrations portuaires de saisir les occasions commerciales et de réduire les restrictions actuelles qui nuisent à la croissance.

Selon une étude de l’AAPC et de Transports Canada¹ sur les besoins en infrastructures portuaires, une dépense en immobilisations de 5,8 milliards $ est nécessaire pour répondre à la demande grandissante. Ce montant comprend 1,9 milliard $ (ou 33 %) pour la réhabilitation des biens portuaires existants. Ce financement public de l’infrastructure portuaire stratégique est essentiel pour développer au maximum la production économique du Canada.

Nous sommes impatients de discuter avec le Gouvernement du Canada en vue de clarifier les efforts de la phase 2, et d’offrir des couloirs commerciaux rapides et efficaces et de permettre aux ports d’aider le Canada à miser sur le potentiel du commerce mondial. L’AAPC cherche aussi à intégrer les besoins immédiats de financement de 1,9 milliard $ pour la réhabilitation portuaire dans le cadre du Nouveau Fonds Chantiers Canada. En dernier ressort, les infrastructures portuaires auront un effet multiplicateur sur l’économie canadienne. L’investissement initial soutiendra l’économie locale et la main-d’oeuvre et avec les investissements qui suivront, les ports pourront accroître et diversifier leurs cargaisons.

À propos de l’Association des administrations portuaires canadiennes
Créée en 1958, l’Association des administrations portuaires canadiennes regroupe les ports, les havres et les intérêts maritimes connexes en un seul organisme national. Elle représente toutes les administrations portuaires canadiennes, diverses entités gouvernementales, ainsi que des compagnies du secteur maritime, et elle sert de principale association pour la défense des intérêts et l’avancement de l’industrie portuaire canadienne. Les membres de l’AAPC manutentionnent au-delà de 162 milliards de dollars en marchandises par année et ils génèrent plus de 250 000 emplois directs et indirects. Leur apport à l’économie locale, régionale et nationale du Canada est considérable.

Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec :
Wendy Zatylny
Présidente, Association des administrations portuaires canadiennes
Cell. : (613) 407-6022
Bureau: (613) 232-2036, poste 201
www.acpa-ports.net


¹CPCS Transcom, Étude sur les infrastructures des administrations portuaires canadiennes : besoins et programmes d’investissement dans les infrastructures portuaires, Association des administrations portuaires canadiennes, Ottawa, 2011