Création d’un observatoire pour la veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Sept-Îles, le 26 août 2013 – Le Cégep de Sept-Îles, la Ville de Sept-Îles, la Corporation de protection de l’environnement de Sept-Îles, Développement économique Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont donné, ce matin, le coup d’envoi à la création d’un observatoire pour la veille environnementale de la baie de Sept-Îles qui sera dirigé par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST).

« Je suis heureux de la création de cet observatoire qui démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Cette initiative permettra à la communauté d’obtenir une vision globale de la baie », d’affirmer M. Serge Lévesque, maire de la Ville de Sept-Îles.

En plus de fournir un portrait environnemental, ce projet poursuit plusieurs objectifs dont :

  • actualisation et consolidation des données et mesures reliées à l’environnement de la baie;
  • production d’un rapport de suivi annuel à partir du traitement des données par l’INREST;
  • projeter la capacité du milieu à accueillir des projets acceptables et sécuritaires pour la population et l’environnement;
  • assister les entreprises existantes dans l’amélioration de leur performance environnementale, s’il y a lieu;
  • mesurer les résultats des efforts de conservation et d’amélioration environnementale dans la baie de Sept-Îles.

« À notre connaissance, cette approche de recherche intégrée et continue d’un tel écosystème est une première au Québec et possiblement au Canada. Ceci nous permet donc de se positionner comme précurseur en matière environnementale et de développement durable », de témoigner M. Donald Bherer, directeur général du Cégep de Sept-Îles.

Au terme de plusieurs mois de préparation, les acteurs ont convenu d’adopter une démarche dont la phase de démarrage se détaille comme suit :

1. Recensement et analyse des données existantes (revue de littérature)
2. Échantillonnage sur la qualité de l’eau et des sédiments
3. Production et diffusion d’un rapport final

« Les données actuelles étant insuffisantes pour concevoir une stratégie globale de surveillance à long terme, cette phase de démarrage permettra à l’INREST et ses partenaires de mieux orienter les phases subséquentes prévues pour 2014 et 2015 », d’informer Dre Julie Carrière, ing., chercheure et directrice du nouvel institut de recherche.

Cet important projet fournira une meilleure compréhension des impacts environnementaux présents et futurs grâce à l’acquisition de données de références crédibles et actualisées. De plus, il outillera l’ensemble des intervenants dans la prise de décision et leur gestion environnementale, tout en répondant aux attentes et préoccupations émanant du milieu.

« Intégrant les objectifs poursuivis de l’Alliance verte, la mise sur pied de cet observatoire permettra de veiller à la protection de la richesse de nos écosystèmes marins, et ainsi, assurer une planification responsable s’appuyant sur les valeurs du développement durable. Cette démarche novatrice témoigne du leadership environnemental du Port et de ses partenaires », de déclarer M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Il en coûtera près de 384 250 $ pour mettre en branle la première phase de cette initiative. Développement économique Sept-Îles y investira 50 000 $, le Port de Sept-Îles, 209 600 $ et la Corporation de protection de l’environnement défraiera 124 650 $. « Je remercie la Ville de Sept-Îles de nous fournir le support financier nécessaire à la réalisation de ce projet sur lequel nous travaillons depuis quelques années. C’est une initiative environnementale structurante pour le développement de notre communauté », de conclure Mme Stéphanie Prévost, directrice générale de la Corporation.

Les travaux débuteront sous peu et le dépôt du rapport final de cette première phase est prévu pour l’automne 2014. Pour ce qui est de la phase 2 du projet prévue pour l’an prochain, les paramètres étudiés devraient, entre autres, comprendre la communauté benthique, les zostères, les poissons, le phytoplancton, les macroalgues, les données physiques et climatiques.

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Faits saillants du projet
Communiqué de presse – INREST

Quai multi-usager – avancement à mi-échéance

IMG_4189SEPT-ÎLES, le 9 juillet 2013 – Maintenant rendu à la moitié de l’échéancier de la réalisation du plus gros chantier maritime du Canada, le Port de Sept-Îles souhaite faire un bilan d’avancement.

Avec plus de 95 % des coûts des projets qui sont maintenant connus et engagés, le Port se déclare des plus satisfaits concernant les prix favorables obtenus, et qui lui permettent d’envisager de respecter son budget de 220 millions ainsi que son échéancier de livraison pour la fin mars 2014.

Le Port est également heureux de la reprise à plein régime de la cadence des travaux à la suite de l’interruption des activités de construction pendant huit jours reliée au conflit provincial de la construction.

Le Port tient à souligner l’importance des retombées locales qui sont actuellement générées avec :

80 à 90 % de la main-d’œuvre locale parmi les 130 travailleurs présentement au chantier;
la fourniture de services et équipements par les fournisseurs locaux pour plus de 20 millions de dollars, répartis chez les principaux fournisseurs suivants : Construction de lignes électriques N.G.E., Westburne, Nedco, Équipements Nordiques, Construction Tshiuetin, AXOR, Bouchard & Blanchette Marine.

« Nous sommes également bien satisfaits du support proactif et de la collaboration étroite des équipes de Pomerleau et Sandvik Canada qui contribuent de très près avec notre équipe à réaliser le terminal portuaire de vrac le plus important au pays », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

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Le Port de Sept-Îles obtient un prix en reconnaissance de son appui aux Réservistes des Forces Canadiennes

Photo_8_Special_Award_Port_SeptIlesOTTAWA – Le Port Sept-Îles a reçu le prix spécial pour l’appui à la Force de réserve lors d’une cérémonie tenue vendredi au Musée canadien de la guerre à Ottawa. Le Conseil de liaison des Forces canadiennes (CLFC) a remis le prix au président du Port, M. Pierre Gagnon, au cours de sa cérémonie biennale de remise des prix nationaux pour l’appui des employeurs. Cette dernière est organisée afin de rendre hommage aux organismes gouvernementaux, aux entreprises et aux établissements d’enseignement et de souligner leur appui à la Première réserve.

Le capitaine de corvette François Levesque, commandant du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) JOLLIET de la Division de la Réserve navale à Sept-Îles (Québec), a proposé le Port Sept-Îles comme lauréat du prix. « M. Pierre Gagnon, président et directeur général du Port Sept-Îles, est un fervent promoteur du NCSM Jolliet et de la Réserve navale à Sept-Îles. Nos deux organisations ont collaboré de façon exemplaire dans la région », indique M. Levesque, qui fait l’éloge du Port Sept-Îles, lequel a aidé à promouvoir le NCSM Jolliet à l’échelle locale. « Le Port a même aiguillé de ses employés vers le NCSM Jolliet aux fins d’enrôlement dans la Réserve navale. » François Levesque a servi 10 ans dans la Réserve de l’Armée de terre à titre d’officier de la logistique et au sein d’autres postes avant d’intégrer la Force régulière à titre d’officier de la marine en 2001. Il poursuit actuellement des études à distance à l’Université du Québec dans le but d’obtenir son diplôme en administration des affaires.

Des prix semblables ont été remis à 19 organisations de partout au Canada, dont des entreprises et des établissements d’enseignement, qui ont été reconnues pour leur soutien remarquable à l’égard des membres de la Réserve des Forces armées canadiennes. Plus de 150 personnes étaient présentes à la cérémonie à titre de présentateurs, de lauréats ou d’invités, dont le vice-amiral Bruce Donaldson, vice-chef d’état-major de la Défense et de nombreux autres officiers supérieurs et hauts fonctionnaires. Don Newman, journaliste de grande expérience à la retraite, a agi comme maître de cérémonie, laquelle s’est déroulée au cœur de la collection d’objets militaires historiques conservés dans la galerie LeBreton du Musée canadien de la guerre.

Le CLFC est un groupe de dirigeants d’entreprises et d’établissements d’enseignement civils qui consacrent volontairement temps et énergie à promouvoir la Première réserve, la force militaire à temps partiel du Canada, en insistant sur les avantages que procurent la formation et l’expérience des réservistes au milieu de travail civil.

Le mandat du CLFC consiste à accroître la disponibilité des réservistes pour exercer leurs fonctions militaires. Pour y parvenir, le CLFC doit obtenir le soutien et la coopération de dirigeants d’organisations canadiennes. La vision du CLFC est que tous les chefs d’organisation du Canada appuient activement les réservistes.

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Croissance et nouveaux partenaires au rendez-vous en 2012

– Le Port de Sept-Îles est fier d’annoncer que le volume manutentionné dans le port a augmenté de 7,5 % par rapport à l’an dernier pour atteindre 28 millions de tonnes. Cette augmentation est principalement attribuable à la croissance des volumes de minerai de fer manutentionnés et plus particulièrement reliée à l’augmentation des volumes d’activité de Labrador Iron Mines qui représente plus de 80 % de la croissance.

Le début d’année 2012 a d’abord été marqué par l’annonce de l’investissement historique et sans précédent du gouvernement fédéral d’une contribution de 55 millions de dollars, représentant 25 % du coût total de construction de 220 M$ pour le nouveau quai multi-usager.

Cette annonce structurante a ainsi permis l’arrivée de cinq nouveaux partenaires au Port qui participeront au financement de 50 % du projet, dont les entreprises : Alderon Iron Ore Corp., Champion Iron Mines Limited, Labrador Iron Mines Holdings Limited, New Millennium Iron Corp. et Tata Steel Minerals Canada Limited.

On ne peut passer sous silence la réalisation de la toute première semaine maritime de l’histoire qui s’est déroulée du 27 septembre au 4 octobre grâce à la collaboration de nombreux partenaires, soit la Ville de Sept-Îles, le NCSM Jolliet et Destination Sept-Îles Nakauinanu. La semaine fut un réel succès avec plus de 2000 personnes qui ont participé aux diverses activités offertes.

On se doit également de souligner l’importante implication du Port pour soutenir les besoins du milieu tout au cours de l’année. En effet, la Fondation du Centre hospitalier de Sept-Îles a pu recevoir du Port de Sept-Îles un don record d’un quart de million de dollars pour le projet de consolidation et robotisation du laboratoire du CSSS de Sept-Îles. De plus, la levée de fonds record de 115 000 $ remise à l’Élyme des sables dans le cadre du 5 à huîtres maritime du Port de Sept-Îles en octobre dernier est tout autant digne de mention. Au total, c’est plus d’un demi-million de dollars en support monétaire à la communauté qui fut réalisé dans l’année en considérant tous les autres organismes et causes auxquels le Port a apporté son soutien.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

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Premier navire 2013

Premier_bateau_2013_080SEPT-ÎLES, le 12 janvier 2013 – Battant pavillon de l’Île de Man, en provenance de Falmouth, Royaume-Uni, le M/V ETERNUS est le premier navire de l’année à franchir les limites du Port de Sept-Îles avec son entrée enregistrée à 5 h 20 le 4 janvier 2013. Le navire, allège à son arrivée, s’est finalement accosté le 11 janvier au quai no 2 de la compagnie minière Rio Tinto IOC et repartira avec une cargaison de 162 721 tonnes de minerai de fer à destination de Dunkerque, France.

Comme le veut la tradition, le capitaine Miroslaw Kaczmarczyk s’est vu remettre, lors d’une brève cérémonie, la prestigieuse canne à l’effigie du Port de Sept-Îles par monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles, ainsi que différents présents offerts en guise de reconnaissance par madame Lorraine Dubuc-Johnson, mairesse suppléante de la Ville de Sept-Îles et des représentants de la compagnie Rio Tinto IOC.

Cette tradition, qui en est à sa 26e édition, souligne l’arrivée du premier navire de l’année à mouiller dans les eaux du port. Pour être éligible, le navire doit absolument provenir de l’étranger et quitter pour une destination à l’extérieur du pays. Rappelons également que la prestigieuse canne du Port a été l’an dernier redessinée pour dorénavant mettre à l’honneur et en valeur les matériaux qui constituent l’assise de nos activités portuaires, soit le fer et l’aluminium. Avec un design plus contemporain et à l’image du logo du Port de Sept-Îles, la nouvelle canne se compose d’un pommeau stylisé en aluminium poli qui abrite un fragment de minerai de fer dont l’éclat se réflète à travers une demi-sphère d’acrylique. Les sept îles de la baie s’y retrouvent également, représentées par sept étoiles en or montées au pourtour du pommeau de la canne, le tout procurant à l’ensemble une signature distinctive et prestigieuse.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

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Fiche informative – M/V Eternus
Liste des premier navires de l’année

Le « 5 à huîtres maritime » : une pêche miraculeuse…

SEPT-ÎLES, le 29 octobre 2012 – Au lendemain de la troisième édition du 5@huîtres maritime, le comité organisateur est fier d’annoncer un montant final de 115 000 $. La participation surprise de trois grandes entreprises en voie d’installation dans la région a permis cette capture impressionnante, soit McKeil Marine et Arrimage Québec avec un don de 7000 $ chacun ainsi que le CN avec une contribution de 15 000 $.

Rappelons la présence du chef Ian Perreault à titre d’invité spécial cette année. En plus d’aider les bénévoles du Club Richelieu à concocter des recettes spéciales pour l’activité, monsieur Perreault et son épouse Mélanie ont épaté les invités par leur savoir-faire culinaire et ont fait apprécier les huîtres d’une manière différente aux trois cents et quelques convives.

Félicitations et merci aux nombreux bénévoles qui ont accompli un travail remarquable autant au montage qu’au démontage de l’activité.

3e édition du 5 à huîtres maritime

Cet événement-bénéfice, organisé par le Port de Sept-Îles en collaboration avec le Club Richelieu, le NCSM Jolliet (Réserve navale) et l’Élyme des sables, en était à sa troisième édition afin d’amasser le plus de fonds possible pour contribuer à la poursuite des activités de la maison de soins palliatifs de Sept-Îles, l’Élyme des sables. L’an dernier, l’activité a permis de récolter plus de 84 500 $.

Les participants avaient le choix entre deux formules. La version Rockefeller, au coût de 500 $ par personne, consistait en une dégustation de mets gastronomiques à base d’huîtres. La version Malpèque, au coût de 100 $ par personne, visait quant à elle les mordus des huîtres fraîches et crues dans une atmosphère des plus festives et conviviales. Un buffet accompagnait également la dégustation des huîtres fraîches. Animation, consommations gratuites, concours, musique et prix de présence se sont ajoutés au menu de cette soirée.

 

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Le « 5 à huîtres maritime » continue sa pêche aux participants…

SEPT-ÎLES, le 18 octobre 2012 – À une semaine de la troisième édition du 5@huîtres maritime, le comité organisateur compte déjà sur la présence assurée de deux cents convives. Il ne reste qu’une semaine pour acheter vos billets et le comité attend avec ferveur les derniers participants qui assureront le succès de la soirée. Rappelons la présence du chef Ian Perreault à titre d’invité spécial cette année. En plus d’aider les bénévoles du Club Richelieu à concocter des recettes spéciales pour l’activité, monsieur Perreault fera une démonstration de ses talents culinaires au cours de la soirée.

Un service de navettes sera de plus disponible pour faire le lien entre le stationnement de l’ancien Canadian Tire (au coin des rues Maltais et Arnaud) et la Réserve navale au 366, avenue Arnaud.

3e édition du 5 à huîtres maritime

Cet événement bénéfice, organisé par le Port de Sept-Îles en collaboration avec le Club Richelieu, le NCSM Jolliet (Réserve navale) et l’Élyme des sables, en est à sa troisième édition et utilise un concept original afin d’amasser le plus de fonds possible pour contribuer à la poursuite des activités de la maison de soins palliatifs de Sept-Îles, l’Élyme des sables. L’an dernier, l’activité a permis de récolter plus de 84 500 $.

Les participants ont le choix entre deux formules. La version Rockefeller, au coût de 500 $ par personne, consiste en une dégustation de mets gastronomiques à base d’huîtres. La version Malpèque, au coût de 100 $ par personne, vise quant à elle les mordus des huîtres fraîches et crues dans une atmosphère des plus festives et conviviales. Un buffet accompagne également la dégustation des huîtres fraiches. Animation, consommations gratuites, concours, musique et prix de présence s’ajoutent au menu de cette soirée.

Les billets sont en vente au Port de Sept-Îles (418 968-1231) et seront disponibles à l’entrée de la Réserve navale, dès 17 h le jour de l’activité.

 

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Contribution exceptionnelle d’un quart de million de dollars du Port de Sept-Îles à la Fondation régionale Hôpital Sept-Îles

Sept-Îles, le 26 septembre 2012 — Dans le cadre du 50e anniversaire du Centre de santé et de services sociaux de Sept-Îles (CSSS) et de la campagne de financement 2012 de la Fondation régionale Hôpital Sept-Îles, le Port de Sept-Îles est fier d’annoncer le plus important don monétaire jamais remis à la Fondation soit un quart de million de dollars.

Par ce don exceptionnel, le Port désire soutenir le CSSS dans sa quête continue d’amélioration des services à la communauté régionale, et de façon concrète, venir appuyer le projet de consolidation et de robotisation du laboratoire par l’apport des fonds requis. Cet investissement d’ampleur du Port dans sa communauté est en lien avec sa nouvelle politique de dons et de contributions au milieu. Dorénavant, pour tout projet d’infrastructure majeur réalisé par le Port de Sept-Îles, des fonds seront réservés pour soutenir des projets de la communauté qui offrent un maximum de rayonnement et de retombées pour les Septiliens. A cet effet, le projet du quai multi-usager, au coût d’investissement de 220 M$, vient permettre au Port de réaliser cette première contribution d’importance.

« Nous sommes donc très heureux de pouvoir réaliser ce premier don d’importance dans la communauté en l’honneur du 50e anniversaire du CSSS et comblés par les retombées ainsi que de l’incidence de cet investissement qui améliorera l’éventail et la rapidité des tests et prélèvements pour tous les usagers de l’hôpital », de déclarer messieurs Pierre D. Gagnon et Carol Soucy, respectivement président-directeur général et président du conseil du Port de Sept-Îles.

Selon Martin Beaumont, Directeur général du CSSS de Sept-Îles, «Les dirigeants du Port de Sept-Îles viennent de rehausser la barre! Il s’agit d’une démonstration extraordinaire d’un engagement communautaire qui touchera des milliers d’usagers nord-côtiers puisque notre laboratoire réalise près de 800 000 analyses annuellement. Cette contribution aura sans équivoque un retour sur investissement important notamment au niveau de l’amélioration de la qualité et de l’accessibilité aux soins».

Il s’agit du plus gros don corporatif monétaire jamais reçu et pour le souligner, la salle de prélèvements du CSSS est désormais identifiée au nom du Port de Sept-Îles et la Fondation crée la catégorie « Compagnon Diamant » qui marque une contribution de 250 000 $ et plus.

L’achat d’équipements d’analyse spécialisés au laboratoire permettra de développer de nouveaux tests, dont ceux du cancer du sein et du cancer de l’ovaire. Il s’agit d’un investissement judicieux qui améliorera la productivité du service diagnostic en réduisant les délais de réponse et qui entraînera un accroissement de l’expertise régionale. L’une des orientations stratégiques du CSSS de Sept-Îles est de développer et de maintenir un parc d’équipements et des technologies de l’information pour soutenir l’offre de service. La Fondation régionale Hôpital Sept-Îles contribue à l’atteinte de cette orientation, une fois de plus.

Par ces actions, le Port de Sept-Îles et la Fondation supportent le CSSS de Sept-Îles dans sa vision de devenir le meilleur allié en santé des Nord-Côtiers.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord et est en voie de reprendre le deuxième rang des ports canadiens pour le volume annuel manutentionné avec plus de 30 millions de tonnes anticipées en 2012.

La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique au fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement économique a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité portuaire du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

À PROPOS DE LA FONDATION RÉGIONALE HÔPITAL SEPT-ÎLES
www.fondationsept-iles.qc.ca

La Fondation régionale Hôpital Sept-Îles a pour mission d’amasser des fonds afin d’appuyer le Centre de santé et de services sociaux de Sept-Îles dans l’amélioration de la santé et du bien-être de la population de son territoire en rendant accessible une gamme de services de santé et de services sociaux.

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Le « 5 à huîtres maritime » fait toute une prise…

SEPT-ÎLES, le 13 septembre 2012 – L’un des grands chefs du Québec est l’invité spécial du « 5 à huîtres maritime » qui se tiendra le jeudi 25 octobre prochain à la Réserve navale de Sept-Îles au profit de la maison de soins palliatifs l’Élyme des sables. Le chef Ian Perreault, reconnu pour sa créativité et ses talents gastronomiques, épatera les convives avec ses recettes d’huîtres mariant les saveurs des produits du terroir nord-côtier.

En plus d’aider les bénévoles du Club Richelieu à concocter des recettes spéciales pour l’activité, monsieur Perreault fera une démonstration de ses talents culinaires au cours de la soirée.

Un chef reconnu

Après une tentative d’études en comptabilité, c’est ce goût d’aller plus loin qui ramène Ian Perreault à sa première passion : la cuisine. Déjà à seize ans en travaillant dans une pizzeria, il apprend comment opérer une cuisine d’une façon efficace. Cela lui sera utile durant toute sa carrière comme chef et restaurateur. Il a travaillé dans 18 restaurants avant d’ouvrir avec un partenaire, Denis Lévesque, en juin 2000, son premier restaurant, Area. Aujourd’hui, ce chef montréalais, parmi les plus créatifs et les plus talentueux, dirige les destinées de Ian Perreault Prêts-à-manger avec son épouse Mélanie Martin.

Troisième édition du 5 à huîtres maritime

Cet événement-bénéfice, organisé par le Port de Sept-Îles en collaboration avec le Club Richelieu, le NCSM Jolliet (Réserve navale) et l’Élyme des sables, en est à sa troisième édition et utilise un concept original afin d’amasser le plus de fonds possible pour contribuer à la poursuite des activités de la maison de soins palliatifs de Sept-Îles, l’Élyme des sables. L’an dernier, l’activité a permis de récolter plus de 84 500 $.

Les participants ont le choix entre deux formules. La version Rockefeller, au coût de 500 $ par personne, consiste en une dégustation de mets gastronomiques à base d’huîtres et la version Malpèque, au coût de 100 $ par personne, vise quant à elle les mordus des huîtres fraîches et crues dans une atmosphère des plus festives et conviviales. Un buffet accompagne également la dégustation des huîtres fraîches. Animation, consommations gratuites, concours, musique et prix de présence s’ajoutent au menu de cette soirée.

Les billets sont en vente au Port de Sept-Îles (418 968-1231) et seront disponibles à l’entrée de la Réserve navale, dès 17 h le jour de l’activité.

 

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L’industrie maritime améliore sa performance environnementale

Québec, 29 mai 2012 – Les derniers résultats publiés dans le bulletin annuel du programme environnemental de l’Alliance verte démontrent que les ports, terminaux et armateurs canadiens et américains ont amélioré leur performance environnementale pour la 3e année consécutive.

Le programme environnemental de l’Alliance verte, qui bénéficie de l’appui notamment de WWF Canada, de Canards Illimités Canada, de Transports Canada, de Transports Québec et de la fondation One DROP a annoncé aujourd’hui les résultats des évaluations de ses participants pour neuf enjeux environnementaux prioritaires. Les résultats ont été dévoilés dans le cadre du 5e colloque sur les technologies vertes et l’innovation, Green Tech 2012, qui se tient actuellement à Québec.

Les participants, qui regroupent des armateurs, des ports et des terminaux du Saint-Laurent, des Grands Lacs et des côtes atlantique et pacifique, ont atteint une moyenne globale de niveau 3 en 2011, comparativement à un résultat de 2,7 en 2010. La performance est évaluée sur une échelle de 1 à 5 (voir tableau plus bas). Les armateurs ont affiché la meilleure note en termes de réduction d’émissions de dioxyde de soufre, qui contribuent au smog et aux pluies acides, alors que les ports se démarquent en matière de leadership en encourageant leurs locataires et usagers à adopter des pratiques environnementales exemplaires. Les résultats individuels des compagnies participantes ont aussi été dévoilées lors de la cérémonie de certification et peuvent être consultés en ligne dans le rapport de performance 2011-2012 à www.allianceverte.org.

Le directeur général de l’Alliance verte, David Bolduc, se réjouit de la hausse continue des résultats : « L’Alliance verte célèbre son 5e anniversaire cette année par des accomplissements significatifs. Notre membership continue de s’élargir, nous avons signé une entente clé de partenariat avec Transports Canada et nos derniers résultats démontrent le sérieux et l’engagement de l’industrie maritime envers l’environnement et le développement durable. »

L’Alliance verte a accueilli 23 nouveaux participants depuis janvier 2011 dont tous les terminaux du port de Sept-Îles qui est ainsi devenu le premier port entièrement Alliance verte, des terminaux au port de Valleyfield, Croisières AML et les terminaux Norcan et Termont au port de Montréal, pour ne nommer que ceux-là. L’Alliance verte a aussi reçu le prestigieux prix international Initiative verte de l’Année aux Sustainable Shipping Awards 2011, à Londres et développer de nouveaux indicateurs de rendement sur la prévention des fuites et des déversements et sur la gestion des déchets.

Le président de la Corporation de gestion Alliance verte, Ray Johnston, qui est aussi président de la Chambre de commerce maritime à Ottawa, voit en l’Alliance verte un outil concret d’amélioration : « Le transport maritime est le mode de transport le plus vert grâce à son efficacité énergétique et sa grande capacité de cargaison. Par le biais de l’Alliance verte, les armateurs, les ports et les terminaux sont mis au défi de continuellement mettre la barre plus haute. »

Processus d’évaluation de l’Alliance verte
Les résultats sont basés sur une échelle de 1 à 5, pour tous les indicateurs de rendement concernant 9 enjeux prioritaires.

Niveau 1
Conformité réglementaire

Niveau 2
Les participants ont surpassé leurs obligations réglementaires et implanté l’usage systématique de bonnes pratiques. Par exemple, les armateurs ont adopté des mesures préventives pour éviter le rejet d’eaux huileuses à la mer ou prennent des mesures pour réduire leur consommation de carburant telles que : réduire la vitesse, optimiser l’assiette de chargement des navires, planifier les voyages en tenant compte des marées et de l’impact des fluctuations météorologiques.

Niveau 3
Les participants ont identifié et quantifié leurs impacts environnementaux et intégré les bonnes pratiques dans un plan de gestion. Par exemple, les armateurs réalisent un inventaire annuel des émissions de NOx, SOx et GES pour l’ensemble des navires de la compagnie. Les ports, terminaux et chantiers maritimes ont adopté des actions concrètes pour réduire le bruit, la poussière, les odeurs et la pollution lumineuse et ont implanté des procédures formelles pour prévenir la pollution de l’eau et des sols ainsi que pour gérer les plaintes de la communauté.

Niveau 4
Les participants ont implanté ou mis à l’essai de nouvelles technologies pour, par exemple, réduire leurs émissions atmosphériques ou le risque de propagation d’espèces aquatiques envahissantes. Les ports, terminaux et chantiers ont installé un dispositif de traitement des eaux de pluie.

Niveau 5
Les participants ont fait preuve d’excellence en atteignant des cibles de réduction définies ou en utilisant de nouvelles technologies. Par exemple, la teneur en soufre de 75 % du carburant consommé annuellement par la flotte d’une compagnie ne dépasse pas 1,5 %, ce qui est considérablement inférieur à la norme internationale de 4,5% en vigueur en 2011.

L’Alliance verte en bref

Le programme environnemental de l’Alliance verte cible des enjeux environnementaux spécifiques dont les gaz à effet de serre, les résidus de cargaison, les conflits d’usage (bruit, poussière, odeur, pollution lumineuse), la prévention de la pollution de l’eau et des sols et le leadership environnemental. Bien que l’Alliance verte soit une initiative volontaire, les participants acceptent de se soumettre à une vérification externe de leurs résultats menée par Lloyds Register Quality Assurance. Le membership de l’Alliance verte a plus que doublé depuis son lancement et se chiffre aujourd’hui à 161 membres répartis en 67 participants, 54 partenaires et 40 supporteurs, d’un océan à l’autre, au Canada et aux États-Unis.

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