Vêtements d’hiver pour 130 enfants

Sept-Îles, le 13 novembre 2020 – C’est le 15 novembre prochain que 130 enfants et adolescents des familles membres de l’Office municipal d’Habitation de Sept-Îles (OMHSI) célébrons Noël à l’avance puisque le Père Noël et ses lutins se présenteront à leur porte pour leur remettre de tous nouveaux vêtements d’hiver.

L’activité, qui se prépare depuis plusieurs mois déjà, a dû être modifiée afin de s’adapter aux mesures sanitaires en place actuellement. « Initialement, nous avions prévu organiser une fête afin de remettre les bottes, les mitaines d’hiver ainsi qu’un petit présent. Comme c’est malheureusement impossible présentement de se rassembler, nous avons décidé de faire la distribution des présents directement au domicile des familles, nous avons collaboré avec la Santé publique de la Côte-Nord afin d’assurer la sécurité du processus de distribution. » confirme Guy Berthe, président de l’OMHSI.

Des partenaires généreux
Ce projet a pu voir le jour grâce à la grande générosité de la SFP Pointe-Noire et du Port de Sept-Îles. Les deux organisations ont contribué financièrement à l’achat des vêtements d’hiver et des présents.

« La SFP Pointe-Noire a été rapidement convaincue par l’importance et la pertinence de cette nouvelle initiative lancée par l’OMHSI. En tant qu’entreprise locale, nous sommes fiers de pouvoir offrir des vêtements d’hiver confortables et sécuritaires pour les enfants de notre communauté. » mentionne Frédérick Jolicoeur-Tétreault, conseiller – communications à la SFP Pointe-Noire.

« Demeurant toujours fidèle à son engagement d’appuyer les nombreux besoins au sein de la communauté septilienne, le Port de Sept-Îles est heureux, avec l’approche du temps des fêtes, de participer à cette brillante démarche de l’OMHSI afin de tenir bien au chaud notre jeunesse, relève de demain ! » mentionne le Port de Sept-Îles.

L’OMHSI tient également à remercier la SFP Pointe-Noire, le Port de Sept-îles, la boutique Au Petit Chaperon Rouge, Sport expert, l’Envol Maison de la Famille et l’ensemble des bénévoles pour leurs dons ainsi que pour leur temps qui saura réchauffer le cœur des enfants de chez nous.

La distribution de cadeaux
L’OMHSI, la SFP Pointe-Noire et le Port de Sept-Îles se réuniront ce dimanche 15 novembre à 9h00 au 75 rue Mingan pour la distribution des cadeaux. Les médias sont invités au lancement de l’activité. Des entrevues seront accordées par les représentants de l’OMH et des partenaires avant le début de la distribution. Pour des raisons de confidentialité, les médias ne pourront cependant pas participer à la distribution.

À propos de l’OMHSI
Le travail de l’OMHSI est de gérer et d’administrer des logements et des programmes d’habitation à Sept-Îles. L’organisation a pour mission d’influencer positivement les conditions de vie de leur clientèle, et souhaite agir pour le mieux-être de toute la communauté.

 

Source :

Guy Berthe
Président
Office municipale d’Habitation de Sept-Îles (OMHSI)
418 409-6976

Le Centre d’expertise industrialo-portuaire et le Port de Sept-Îles réitèrent leurs rôles stratégiques en recherche scientifique avec l’accueil du Coriolis II

Sept-Îles, le 22 septembre 2020 – Le Centre d’expertise industrialo-portuaire, division de l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) et le Port de Sept-Îles sont fiers d’accueillir aujourd’hui le Coriolis II, véritable laboratoire flottant qui dispose d’espaces dédiés exclusivement aux travaux de recherche. Ce dernier héberge une mission océanographique estivale du programme de recherche Odyssée Saint-Laurent qui vise à acquérir des données stratégiques de pointes sur le fonctionnement de l’écosystème du Saint-Laurent. L’INREST et sa division, le Centre d’expertise industrialo-portuaire sont heureux de collaborer à nouveau avec le Réseau Québec maritime dans le cadre d’une mission Odyssée Saint-Laurent.

Du 13 au 28 septembre, le navire de recherche Coriolis II sillonne l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent avec une équipe de scientifiques multidisciplinaires à son bord, réalisant échantillonnages et analyses pour douze projets de recherche de six institutions québécoises différentes. Une attention particulière sera notamment apportée aux conditions physico-chimiques en Zones Industrialo-Portuaires (Zones IP) pour les secteurs de Sept-Îles, Port-Cartier et Baie-Comeau. Ceci permettra de poursuivre sur la lignée de l’observatoire de Sept-Îles et de commencer à acquérir un état de référence environnemental pour les Zones IP de Baie Comeau et de Port Cartier.

L’équipage scientifique peut compter sur la présence à bord de Viridiana Jimenez, directrice-adjointe du Centre d’Expertise Industrialo-Portuaire (CEIP, division de l’INREST), qui en plus de prendre en charge l’échantillonnage et la collecte de donnée dans les zones industrialo-portuaires visitées, soutien les autres équipes de recherche à bord.

« Cette deuxième participation de l’INREST à une mission Odyssée permet de tisser une collaboration durable non seulement avec le RQM, mais aussi avec les équipes de recherche présentes lors de ces missions, qui bénéficient du soutien et des échanges avec Madame Jimenez. » Marie-Pier St-Onge, cheffe de mission et coordonnatrice des missions scientifiques au Réseau Québec maritime.​

« Venant tout juste d’être lancé en juillet dernier, voilà déjà que le CEIP se joint à la mission Odyssée du RQM afin de poursuivre les travaux de veille environnemental pour notre précieux écosystème de la baie de Sept-Îles. Nous sommes heureux et fiers que ce leadership puisse également profiter à nos zones portuaires voisines, et nous désirons souhaiter à toutes les équipes de recherche du Coriolis des activités de recherche des plus fructueuses » de déclarer M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

La participation de l’INREST et du CEIP en collaboration avec les équipes de recherche impliquées dans les missions hivernales (à bord de l’Amundsen en mars 2020) et dans les missions estivales (Lampsilis à l’été 2020) ainsi qu’en septembre 2020 (à bord du Coriolis II) contribue à la prise de données dans différentes zones industrialo-portuaires sur le territoire maritime du Québec. Cette collaboration avec le RQM permettra au CEIP d’acquérir des données actualisées dans le but de poursuivre le suivi environnemental et l’implantation du modèle de gestion « Enviro-Actions » dans la zone portuaire de Sept-Îles ainsi que d’initier le transfert des connaissances acquises par l’équipe du CEIP dans d’autres zones portuaires » a mentionné Julie Carrière, directrice générale du Centre d’expertise industrialo-portuaire et de l’INREST.

La mission à bord du Coriolis II se poursuit jusqu’au 28 septembre.

Les curieux peuvent la suivre sur les comptes Facebook et Twitter du RQM et de l’INREST.

À propos de l’INREST/CEIP
L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) est un organisme à but non lucratif qui s’intéresse aux questions environnementales et de santé au travail. L’INREST s’est démarqué sur la scène internationale par l’implantation du plus important observatoire environnemental en zone industrialo-portuaire pour la préservation des écosystèmes marins au Québec, ainsi que par la création du Centre d’Expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST. Le CEIP division de l’INREST, a comme projet phare l’implantation d’observatoires environnementaux et l’instrumentalisation du territoire maritime du Québec dans un but de conservation des écosystèmes dans l’ensemble des zones portuaires et industrielles du territoire, incluant la collecte de données en direct tel que dicté par le modèle de gestion «Enviro-Actions».

À propos du Port de Sept-Îles
Disposant d’installations diversifiées et avant-gardistes, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. Pionnier sur le Saint-Laurent avec l’implantation du premier observatoire environnemental de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

À Propos du Réseau Québec maritime
Lancé en mai 2016, le Réseau Québec maritime rassemble quelque 166 établissements membres, dont l’ensemble des universités du Québec, des collèges et des centres collégiaux de transfert technologique, des centres de recherche, des organisations gouvernementales et parapubliques, des organisations communautaires et des industries œuvrant dans le domaine maritime. Rattaché à l’UQAR qui en est l’organisme gestionnaire, le RQM a pour mandat de faire du Québec un leader mondial sur le plan du développement maritime durable. Le ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec et les Fonds de recherche du Québec sont partenaires financiers du RQM.
Amundsen

À propos d’Odyssée Saint-Laurent
Odyssée Saint-Laurent est un ambitieux programme de recherche du Réseau Québec maritime. Bénéficiant d’un financement de 15 M$ du ministère de l’Économie de l’Innovation du Québec, Odyssée Saint-Laurent est articulé autour de trois chantiers, soit « Découverte », « Applications » et « Innovation ouverte ». Le programme de recherche vise l’acquisition de connaissances sur les écosystèmes du Saint-Laurent, la biodiversité et les facteurs de stress environnementaux du système Saint-Laurent, la conception d’outils, de technologies et de pratiques novatrices pour un développement maritime durable.

 

Source :

Mathieu Dumulon-Lauzière
Conseiller aux communications
Réseau Québec maritime
581 337-1435

Julie Carrière
Directrice générale
INREST
418 968-4801 poste 5720
julie@inrest.ca

Pierre D. Gagnon
Président-directeur général
Port de Sept-Îles
418 968-1231

L’INREST et le Port de Sept-Îles inaugurent le Centre d’expertise industrialo-portuaire

Sept-Îles, le 17 juillet 2020 – C’est avec grand enthousiasme que l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) et le Port de Sept-Îles annoncent l’inauguration aujourd’hui du nouveau Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), une division de l’INREST, qui constitue le premier centre de recherche dédié aux écosystèmes industrialo-portuaires.

Ce développement novateur, important pour la poursuite des activités de recherche initiées dans le cadre de l’Observatoire de la baie de Sept-Îles, est rendu possible grâce à une contribution majeure du gouvernement du Québec de 351 000 $ pour la création du centre grâce au programme du Fonds bleu pour le financement d’initiatives qui s’inscrivent dans les objectifs de la Stratégie maritime du Québec (http://www.fil-information.gouv.qc.ca) et également, n’aurait pu voir le jour sans les appuis financiers à long terme provenant de la mobilisation de la grande industrie, de la ville et du Port de Sept-Îles, démontrant le leadership et la collaboration régionale en appui du CEIP.

Nous tenons à souligner et à remercier les premiers membres du CEIP sur la Côte-Nord, qui sont : la Compagnie minière IOC-Rio Tinto, Aluminerie Alouette, Minerai de fer Québec, la Ville de Sept-Îles et Développement économique Sept-Îles.

Le Port de Sept-Îles, quant à lui, est heureux d’annoncer son appui à l’initiative de l’INREST dans le développement du CEIP par une contribution de 250 000 $ sur une période de 5 ans.

Le CEIP aura pour mission d’offrir des services et de l’expertise scientifique en environnement et en santé au travail en regroupant des experts et des chercheurs de divers secteurs afin d’offrir aux gestionnaires de la région, ainsi qu’aux autres régions maritimes du Québec, du Canada et de l’étranger, des services centralisés en recherche et développement ainsi qu’un soutien technique adapté aux problématiques spécifiques liées aux enjeux environnementaux de la gestion et des opérations en zone industrielle et portuaire.

« L’engagement de notre communauté industrialo-portuaire démontré au CEIP dans la poursuite des activités de recherche du seul observatoire de veille environnementale sur le St-Laurent, nous démarque sur la scène nationale pour cette belle proactivité. De plus, cette première a bien d’autres mérites, avec la fondation d’un centre d’expertise scientifique ancré localement qui permettra la rétention et l’attraction de talents, ainsi que des effets structurants importants avec les retombées de projets de recherche et de nombreux partenariats à venir », de déclarer M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

La structure du CEIP se distingue par la réalisation de projets de recherche commune axés sur les besoins spécifiques des membres et des partenaires. La création d’un fonds de recherche, géré par un comité exécutif comprenant des membres et partenaires du centre, permet de financer le projet phare du CEIP, soit l’implantation du modèle de gestion « Enviro-Actions » développé par l’INREST. Ce modèle innovateur comprend cinq étapes dont l’implantation d’observatoires environnementaux pour les zones portuaires et industrielles du territoire maritime du St-Laurent, ainsi que l’instrumentalisation et la collecte de données en temps quasi réel de même que par imagerie satellitaire.

Ainsi, les promoteurs profitent de données neutres scientifiques leur offrant une plus grande acceptabilité sociale lors de l’élaboration de leurs projets. De plus, toutes ces données disponibles permettent de fournir des éléments précieux lors des évaluations environnementales de projets tout en réduisant les délais et les coûts liés à la recherche de ces données de base.

« Des sommes d’argent significatives ont été investies par le milieu dans la recherche pour la réalisation des trois premières étapes du modèle de gestion « Enviro-Actions », soit l’implantation d’un observatoire environnemental. Ce portrait actualisé des écosystèmes de la baie de Sept-Îles positionne aujourd’hui la zone portuaire comme un site de recherche de référence au Québec et au Canada. La prochaine étape sera celle de l’instrumentalisation de cette zone d’étude qui permettra au CEIP de poursuivre le développement des protocoles et méthodologies à travers un concept uniforme afin d’exporter le savoir-faire de l’équipe du CEIP et de ses collaborateurs dans d’autres zones industrielles et portuaires du Québec et du Canada » a souligné Dre Julie Carrière, directrice générale de l’INREST et du CEIP.

De plus, le CEIP contribuera également à rencontrer les engagements de la récente Chaire de recherche sur les écosystèmes côtiers et les activités portuaires, industrielles et maritimes de l’Université Laval, dont l’INREST et le Port de Sept-Îles sont devenus partenaires fondateurs en février dernier.

À propos de l’INREST et du CEIP

L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) est un organisme à but non lucratif qui s’intéresse aux questions environnementales et de santé au travail. L’INREST s’est démarqué sur la scène internationale par l’implantation du plus important observatoire environnemental en zone industrialo-portuaire pour la préservation des écosystèmes marins au Québec, ainsi que par la création du Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST.

Le Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST, en partenariat avec plusieurs universités et centres de recherches, a comme projet phare l’implantation du modèle de gestion « Enviro-Actions » développé par l’INREST. Ce modèle inclut l’implantation d’observatoires environnementaux dans l’ensemble des zones portuaires et industrielles du territoire maritime du St-Laurent ainsi que l’instrumentalisation et la collecte de données en temps quasi réel de même que par imagerie satellitaire. Ainsi, les nouveaux promoteurs profitent de données neutres scientifiques ayant une acceptabilité sociale. Ces données disponibles en temps quasi réel permettent de réduire les délais et les coûts liés aux demandes d’autorisations environnementales.

Toute entreprise, industrie, organisme gouvernemental, municipalité, communauté autochtone, administration portuaire et port peut devenir membre du CEIP.

À propos du Port de Sept-Îles

Disposant d’installations diversifiées et avant-gardistes, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. Pionnier sur le St-Laurent avec l’implantation du premier observatoire environnemental de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

-30-

Sources :

INREST

Julie Carrière

Directrice générale

Tél : 418 968-4801 poste 5720

Courriel : julie@inrest.ca

Port de Sept-Îles

Pierre D. Gagnon

Président-directeur général

Tél : 418 968-1231

Le Port de Sept-Îles prend acte du jugement dans le cadre du litige avec Pomerleau inc.

SEPT-ÎLES, le 1er mai 2020 Le Port de Sept-Îles prend acte du jugement de la Cour supérieure du district de Mingan dans le dossier judiciaire l’opposant à Pomerleau inc. au terme des travaux de construction du quai multiusager. Des dommages au montant de 13 313 671 $ sont octroyés à Pomerleau.

Comme indiqué par la Cour, Pomerleau réclamait initialement au Port de Sept-Îles, en date du 20 juillet 2015, la somme de 68,3 M$. Ce montant fut par la suite amendé par Pomerleau à plusieurs reprises pour atteindre un montant de 30,5 M$ à la fin du procès. Le jugement a donc réduit de façon substantielle les sommes réclamées.

Le Port de Sept-Îles entend analyser, avec ses procureurs, le jugement rendu avant d’émettre tout autre commentaire et de poser toute action.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4 000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

Le Port de Sept-Îles et l’INREST réitèrent leurs rôles stratégiques en recherche scientifique avec l’accueil du brise-glace de recherche NGCC Amundsen

Sept-Îles, le 6 mars 2020 – Le Port de Sept-Îles et l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) sont fiers d’accueillir aujourd’hui le brise-glace de recherche NGCC Amundsen de la Garde côtière canadienne. Ce dernier héberge la troisième mission océanographique hivernale du programme de recherche Odyssée Saint-Laurent qui vise à acquérir des données stratégiques de pointe sur le fonctionnement de l’écosystème du Saint-Laurent en hiver.

Une brève escale terrestre permettra au chef de mission, M. Jean Carlos Montero-Serrano, accompagné de son équipe de près de 25 chercheurs issus d’une douzaine d’institutions dont l’INREST, de rencontrer les intervenants du milieu et les médias locaux afin de présenter succinctement les activités de recherche de la mission.

Les travaux de recherche réalisés dans le cadre de la mission comprennent des points d’échantillonnage dans la zone portuaire de Sept-Îles. Ils permettront d’acquérir des données stratégiques hivernales complémentaires aux données déjà recueillies dans le cadre des travaux de l’observatoire environnemental de la baie de Sept-Îles.

« L’occasion pour le Port et l’Observatoire de la baie de Sept-Îles d’accueillir la mission Odyssée Saint-Laurent et ainsi d’être parmi son circuit de travaux de recherche est vraiment une précieuse opportunité, car l’acquisition de données et d’informations scientifiques qui en découlera viendra enrichir les connaissances de notre précieux écosystème et nous appuyer dans nos approches de gestion durable », déclare M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

La zone portuaire de Sept-Îles est un site incontournable de la recherche scientifique maritime sur les scènes nationale et internationale compte tenu de la qualité et de la quantité de données générées par les travaux de l’INREST et ses partenaires.

« Depuis 2013, l’INREST a su développer, avec nos partenaires scientifiques, de nombreux outils comme l’observatoire de suivi environnemental en zone portuaire et industrielle ou bien encore la Chaire de recherche sur les écosystèmes côtiers et les activités portuaires, industrielles et maritimes. Ces outils, mis en place grâce à nos partenaires financiers, dont le port de Sept-Îles, nous permettent aujourd’hui de collaborer à cette mission scientifique et de nous démarquer dans le domaine de la préservation des écosystèmes », souligne la directrice générale de l’INREST, Dre Julie Carrière.

Pour le Réseau Québec maritime, l’organisme responsable de l’organisation de la mission, l’événement d’aujourd’hui est une belle démonstration des bienfaits de la collaboration dans le cadre de la recherche scientifique en milieu maritime.

« L’avenir du fleuve Saint-Laurent dépend de la participation de tous. C’est en réunissant les scientifiques, les industries ainsi que les communautés dans l’optique de partager nos expertises et nos infrastructures que nous pourrons doter le Québec d’une vue d’ensemble de son secteur maritime », précise le directeur général du Réseau Québec maritime, Dany Dumont.

La mission hivernale 2020 à bord du NGCC Amundsen se poursuit jusqu’au 14 mars. Les curieux peuvent la suivre sur les comptes Facebook et Twitter du RQM et de l’INREST.

À propos de l’INREST

L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) est un organisme à but non lucratif qui s’intéresse aux questions environnementales et de santé au travail. L’INREST s’est démarqué sur la scène internationale par l’implantation du plus important observatoire environnemental en zone industrialo-portuaire pour la préservation des écosystèmes marins au Québec, ainsi que par la création du Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST.

À propos du Port de Sept-Îles

Disposant d’installations diversifiées et avant-gardistes, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. Pionnier sur le Saint-Laurent avec l’implantation du premier observatoire environnemental de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

À Propos du Réseau Québec maritime

Lancé en mai 2016, le Réseau Québec maritime rassemble quelque 166 établissements membres, dont l’ensemble des universités du Québec, des collèges et des centres collégiaux de transfert technologique, des centres de recherche, des organisations gouvernementales et parapubliques, des organisations communautaires et des industries œuvrant dans le domaine maritime. Rattaché à l’UQAR qui en est l’organisme gestionnaire, le RQM a pour mandat de faire du Québec un leader mondial sur le plan du développement maritime durable. Le ministère de l’Économie et de l’Innovation du Québec et les Fonds de recherche du Québec sont partenaires financiers du RQM.

À propos d’Odyssée Saint-Laurent

Odyssée Saint-Laurent est un ambitieux programme de recherche du Réseau Québec maritime. Bénéficiant d’un financement de 15 M$ du ministère de l’Économie de l’Innovation du Québec, Odyssée Saint-Laurent est articulé autour de trois chantiers, soit « Découverte », « Applications » et « Innovation ouverte ». Le programme de recherche vise l’acquisition de connaissances sur les écosystèmes du Saint-Laurent, la biodiversité et les facteurs de stress environnementaux du système Saint-Laurent, la conception d’outils, de technologies et de pratiques novatrices pour un développement maritime durable.

-30-

Sources :

Réseau Québec maritime

Mathieu Dumulon-Lauzière

Conseiller aux communications

Tél : 581 337-1435

INREST

Julie Carrière

Directrice générale

Tél : 418 968-4801, poste 5720

Port de Sept-Îles

Pierre D. Gagnon

Président-directeur général

Tél : 418 968-1231

Show du Transit

Le Port de Sept-Îles est heureux d’appuyer le Transit Sept-Îles en offrant une contribution financière pour le spectacle-bénéfice « Show du Transit » du 23 février 2020 à la Salle de spectacle Jean-Marc Dion.

Un nouveau partenariat – récupérer, réutiliser, valoriser, partager

Sept-Îles, le 17 février 2020 – C’est avec beaucoup de fierté que le Port de Sept-Îles et Recyk & Frip ont procédé à l’annonce d’un partenariat visant à soutenir l’amélioration et le développement continu de l’offre de services de l’organisme voué à la récupération et à la revente de biens pour le secteur de Sept-Îles, Uashat mak Mani-utenam, et le territoire avoisinant.

La contribution du Port de Sept-Îles de 60 000 $ répartie sur deux années financières permet un soutien à l’aménagement et à l’entretien du bâtiment de même qu’à rendre plus sécuritaire et agréable le travail du personnel et des bénévoles. Ce partenariat s’inscrit parfaitement dans la philosophie du Port de Sept-Îles avec sa politique de dons et contributions visant à contribuer au mieux-être des familles de la communauté.

Recyk & Frip joue un rôle de plus en plus important dans les dimensions de soutien de dépannage en cas de situations d’urgence de différentes natures et répond à des besoins importants dans la communauté. De plus, des interventions ultérieures viseront à intensifier un rôle de sensibilisation et d’éducation.

PRESQUE TOUT POUR TOUS!

Les deux partenaires invitent la population locale et régionale, ainsi que toutes les personnes sans distinction, à profiter de cette source impressionnante d’articles en tout genre afin de récupérer, réutiliser, valoriser, partager, et surtout d’envisager une nouvelle façon de consommer et de donner une seconde vie aux objets.

Sources :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

Maryse C. Gagnon
Directrice générale
Recyk & Frip
418 960-5553

Lancement de la Chaire de recherche sur les écosystèmes côtiers et les activités portuaires, industrielles et maritimes

Québec, le 5 février 2020 – L’Université Laval, l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) et le Port de Sept-Îles ont annoncé aujourd’hui le lancement de la Chaire de recherche sur les écosystèmes côtiers et les activités portuaires, industrielles et maritimes. L’événement a eu lieu en présence de la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau, et du ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, ministre responsable de la région de la Côte-Nord et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale suppléant, Jonatan Julien.

Cette chaire aura pour mission d’améliorer les connaissances sur le fonctionnement des écosystèmes côtiers en zones industrielles et portuaires dans le but d’identifier les pratiques qui assureront une gestion durable de ces environnements.

« On estime que les régions côtières assurent plus des trois quarts de la valeur économique des services écosystémiques mondiaux, c’est-à-dire les bénéfices que procure un écosystème aux populations humaines, notamment par le biais de l’industrie de la pêche, du tourisme, du transport ou de la protection contre les inondations », a expliqué le biologiste Philippe Archambault, professeur à la Faculté des sciences et de génie de l’Université Laval et l’un des initiateurs du projet. « Pourtant, il existe encore peu de données sur ces environnements, d’où la nécessité de mettre en place une structure de recherche qui nous permettra de mieux comprendre les interactions complexes qui s’y déroulent. »

Plus précisément, les objectifs de la Chaire seront de :

Mesurer l’empreinte des activités humaines associées aux zones industrielles et portuaires;

  • Décrire et quantifier les effets de ces activités sur différents secteurs du littoral;
  • Développer des méthodes et des outils permettant de distinguer les principaux changements environnementaux naturels de ceux associés aux activités humaines;
  • Conseiller et accompagner les organisations dans la planification et la mise en place de solutions durables d’adaptation aux problématiques qui auront été identifiées.

Cette chaire est rendue possible grâce à une contribution de 1 M$ sur cinq ans de l’INREST (500 000 $) et du Port de Sept-Îles (500 000 $).

« C’est avec fierté que nous appuyons l’Université Laval et l’INREST dans ce partenariat pour la mise sur pied de cette chaire », a déclaré Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles. « Ayant initié en 2013, en partenariat avec l’INREST et la Ville de Sept-Îles, le premier observatoire sur le St-Laurent avec l’écosystème de la baie de Sept-Îles, c’est avec conviction et sans la moindre hésitation que l’administration portuaire soutient la formation d’une chaire novatrice veillant au développement de la recherche fondamentale pour l’acquisition de connaissances plus approfondies de nos précieux écosystèmes côtiers et portuaires. Nul doute que cette démarche stimulera la mise sur pied de nombreux projets de recherche, de partenariats et de collaborations pour différentes régions de notre majestueux St-Laurent. »

« Le lancement de cette nouvelle chaire de recherche est un moment marquant dans l’histoire de l’INREST et celle de ses partenaires », a ajouté la directrice générale de l’INREST, Julie Carrière, PhD. « Ce projet qui permettra de développer des outils adaptés aux activités portuaires, industrielles et maritimes a été initié par Philippe Archambault et moi-même alors que nous collaborions ensemble aux travaux de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles et du Réseau pour des océans canadiens en santé II (CHONe II), financés en partie par le Port de Sept-Îles. La collaboration entre l’INREST et la Chaire permettra à l’Institut d’accroître son rayonnement dans la communauté scientifique, portuaire et industrielle tant au niveau provincial que national et international. »

« La création de cette Chaire de recherche va tout à fait dans le sens des initiatives que notre gouvernement souhaite voir prendre forme dans la foulée de la nouvelle vision maritime du Québec à l’horizon 2035 », a souligné la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau. « Cette vision maritime, qui est en cours d’élaboration, constituera un élément phare qui guidera le gouvernement en vue de concilier le progrès économique, social et environnemental du Québec. »

« En tant que ministre responsable de la région de la Côte-Nord, je suis très heureux de la participation active de deux institutions sept-îloises à cette chaire », a pour sa part mentionné le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Jonatan Julien. « À titre de ministre responsable de la Capitale-Nationale suppléant, je suis fier de voir ces deux régions que j’ai le privilège de représenter travailler ensemble sur un projet commun. Et comme ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, je le suis encore davantage, compte tenu de l’importance du secteur des ressources naturelles dans l’économie régionale. »

À propos de l’INREST

L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) est un organisme à but non lucratif qui s’intéresse aux questions environnementales et de santé au travail. L’INREST s’est démarqué sur la scène internationale par l’implantation du plus important observatoire environnemental en zone industrialo-portuaire pour la préservation des écosystèmes marins au Québec, ainsi que par la création du Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST.

À propos du Port de Sept-Îles

Disposant d’installations diversifiées et avant-gardistes, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. Pionnier sur le Saint-Laurent avec l’implantation du premier observatoire environnemental de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

Source :

Jean-François Huppé
Relations médias
Université Laval
418 656-7785
jean-francois.huppe@dc.ulaval.ca

Le Port de Sept-Îles accueille son premier navire dans les eaux du Port en 2020

SEPT-ÎLES, le 16 janvier 2020 – Battant pavillon du Portugal, en provenance de Rotterdam, Pays-Bas, le M/V Hinrich Oldendorff était le premier navire de l’année, avec son arrivée à Sept-Îles enregistrée à 1 h 54 le 1er janvier 2020. Le navire, allège à son arrivée, a dû demeurer à l’ancre jusqu’au 14 janvier avant de repartir le 16 janvier 2020 avec une cargaison de 170 000 tonnes de minerai de fer de la compagnie IOC Rio Tinto, à destination du Japon. Construit en 2016, ce vraquier de 300 mètres de long a une capacité totale de chargement de 209 113 tonnes. Appartenant à la compagnie Oldendorff Carriers, il accueille à son bord un équipage de 25 marins.

Le capitaine Yvan Dikiy s’est vu remettre hier soir, lors du traditionnel cocktail de début d’année du Port de Sept-Îles au NCSM Jolliet, la prestigieuse canne à l’effigie du Port de Sept-Îles par monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles, en compagnie de la communauté d’affaires de Sept-Îles qui était présente à l’événement.

Cette tradition, qui en est à sa 33e édition, souligne l’arrivée du premier navire de l’année à mouiller dans les eaux du Port. Pour être éligible, le navire doit absolument provenir de l’étranger et quitter vers une destination à l’extérieur du pays.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

Un tonnage record depuis la création de l’Administration Portuaire

SEPT-ÎLES, le 16 janvier 2020 – Le Port de Sept-Îles est fier d’annoncer une croissance de plus de 15 % du volume manutentionné dans le port comparativement à l’an dernier avec 29 292 000 Tm versus 25 363 000 Tm l’année précédente. Il s’agit de la 4e meilleure année depuis le record de 1979 avec 34 948 000 Tm, et de la meilleure année depuis la création en 1999 de l’Administration portuaire de Sept-Îles. Ce sont 481 navires qui ont mouillé dans la baie de Sept-Îles en 2019, soit 53 navires de plus que l’année précédente.

L’ANNÉE EN REVUE

Au niveau du quai multiusager (QMU), il y a eu 45 navires pour un total de 7 776 000 Tm manutentionnées, une augmentation de 40 % comparativement à 2018. En plus de l’usager Minerai de fer Québec, qui a débuté ses expéditions l’an dernier, un nouvel usager, Tacora Resource Inc., s’est ajouté avec 917 000 Tm. IOC Rio Tinto a de plus réalisé des cargaisons mixtes (split cargos) sur des navires affrétés par Tacora. Le jalon de la 10 000 000e tonne manutentionnée au QMU a été fièrement atteint au mois d’août.

En juin, le Port a accueilli l’honorable Marc Garneau, ministre des Transports, et monsieur Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable de la région de la Côte-Nord, pour procéder à une traditionnelle pelletée de terre lors de la confirmation des participations à parts égales des deux paliers de gouvernement représentant plus de 13,3 M$, soit les deux tiers des coûts du projet de modernisation du terminal Pointe-aux-Basques, un investissement estimé à 20 M$.

L’année 2019 marquait le 20e anniversaire de l’autonomie financière de l’administration portuaire et de sa prise en charge locale. Deux journées « portes ouvertes » ont été offertes à la population. La première de ces festivités, tenue le 25 mai sous le thème « Croisiériste d’un jour » a permis à la population de vivre l’expérience d’un croisiériste sous tous ses angles avec des sorties en zodiacs, visites des musées, dégustations de produits locaux, danses traditionnelles et produits artisanaux. La « Journée XXL » s’est tenue le 10 août en collaboration avec la Table bioalimentaire et offrait une panoplie d’activités telles que yoga, démonstrations culinaires, dégustations de mets locaux, concours, marché public ainsi que le lancement de la bière commémorative la « Pointe aux Basques » en collaboration avec la microbrasserie La Compagnie. Cette dernière fut un réel succès grâce au support des nombreux acteurs impliqués, mais surtout grâce à la participation phénoménale de la communauté septilienne.

Rappelons que pour chaque « Pointe aux Basques » vendue, un montant est versé à la Maison de la famille L’Envol. Une somme de 2 000 $ a été versée à l’organisme par le Port et la microbrasserie La Compagnie au début décembre.

Avec sa nouvelle politique de dons et contributions visant à supporter les organismes communautaires qui viennent en aide à la famille, le Port a contribué financièrement à plusieurs projets collectifs de différents organismes locaux dont : Centre d’action bénévole Le Virage, Hommes Sept-Ils, l’Élyme des sables, Station Gallix, Festival des Hivernants, Salon du livre de la Côte-Nord, Ensemble folklorique Tam ti delam, Vieux-Quai en fête, Maison Alouette (MOCSI), Maison de la famille L’Envol, Comptoir alimentaire de Sept-Îles, Âtre de Sept-Îles, Marée Motrice (Vieux Poste Hanté et Vieux Poste de Noël), Recyk et Frip et Chantier Jeunesse Loisirs. Au total, c’est près de 100 000 $ qui auront été répartis dans la communauté.

En ce qui concerne les croisières, 2019 aura fracassé les records avec 18 655 passagers et membres d’équipage. Ce sont sept escales planifiées, dont la venue du majestueux Queen Mary 2 à deux reprises, et une escale non planifiée qui ont marqué la saison, cette dernière pour échapper à l’ouragan Dorian. Le Serenade of the Seas a trouvé refuge dans le port à moins de 24 heures d’avis et y est resté pour une période de 34 heures au grand bonheur de la population et des commerçants.

« On se devait que le premier vingt ans d’autonomie et de prise en charge locale du Port par des gens d’ici soit dignement célébré en 2019, avec notre communauté, notre monde, nos partenaires et usagers qui sont toujours au cœur de nos préoccupations et actions. Avec la croissance soutenue depuis la mise en service du quai multiusager, le prochain 20 ans augure des plus prospère pour l’administration portuaire de Sept-Îles et l’économie de toute la région. », de déclarer conjointement monsieur Carol Soucy, président du conseil d’administration du Port de Sept-Îles, et monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 35 millions de tonnes en 2020. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’Est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com