Avis de révision tarifaire

Le Port de Sept-Îles donne, en vertu de l’article 51 de la Loi maritime du Canada, un préavis de la révision tarifaire et des nouveaux tarifs qu’elle se propose d’appliquer, conformément aux pouvoirs octroyés en vertu de l’article 49 de ladite loi. Les détails de la révision tarifaire et des nouveaux tarifs peuvent être consultés sur le site Internet du Port au www.portsi.com ou bien en personne au 1, quai Mgr-Blanche. Cette révision tarifaire et ces nouveaux tarifs entreront en vigueur le 1er septembre 2016.

Nous vous invitons à nous faire part de vos commentaires d’ici les soixante (60) prochains jours par écrit ou bien par téléphone à :

Diane Morin
Directrice, Finances & administration
Port de/of Sept-Îles
1, quai Mgr-Blanche
Sept-Îles (Québec) G4R 5P3
418 968-1231, poste/extension 227
portsi@portsi.com

Le Port de Sept-Îles intente des procédures judiciaires contre Champion

SEPT-ÎLES, le 22 juin 2016 – Le Port de Sept-Îles a signifié dans les dernières heures à Champion Iron Mines ltée (Champion) un avis d’arbitrage en vertu du mécanisme prévu au Contrat du quai multi-usager du Port (le Contrat).

L’avis d’arbitrage a pour objectif de contraindre Champion à respecter ses obligations contractuelles et, plus précisément, à acquitter en son entièreté le paiement d’entrée convenu au Contrat, soit la somme de 19 581 000 $, plus intérêts.

L’arbitrage se déroulera conformément au Code de procédure civile du Québec, lequel prévoit notamment le processus de nomination de l’arbitre ainsi que le déroulement de l’arbitrage.

Rappelons que cinq usagers ont signé le Contrat en 2012 pour permettre la construction du nouveau quai. Le refus de Champion de compléter le versement du paiement d’entrée en 2013 a eu pour conséquence de transférer indûment au Port des charges financières importantes et non prévues. Par ces procédures judiciaires, le Port souhaite protéger ses intérêts ainsi que ceux des autres usagers partenaires au Contrat, et ce, en rappelant à Champion son devoir de respecter ses obligations contractuelles.

En marge du différend avec Champion, le Port entend maintenir sa collaboration et son étroite liaison avec le gouvernement du Québec par l’intermédiaire de sa société en commandite, la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), afin de déployer tous les efforts pour la relance à court terme des actifs de Pointe-Noire et de la mise en service du quai multi-usager.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles figure parmi les plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles – Lancement des travaux de la phase III

Sept-Îles, le 16 juin 2016 – La Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont souligné aujourd’hui le lancement des travaux de recherche de la phase III de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles. Cette étude d’envergure est réalisée par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST).

Les différents aspects qui seront étudiés par l’INREST dans cette troisième phase sont notamment :

  • Caractérisation physio-chimique et microbiologique de l’eau;
  • Caractérisation des sédiments et granulométrie;
  • Zostères, macroalgues, zooplanction;
  • Études réalisées à partir de rapports et/ou données existantes dont les courants marins, décharges de sédiments, couvertures de glace, décharges municipales et industrielles, et les mammifères marins.

Les travaux de la phase III s’échelonneront sur deux ans, soit durant les saisons printanière, estivale et automnale de 2016 et 2017 et se termineront par l’émission d’un rapport en 2018.

Le financement de cette troisième phase de recherche, dont le coût est évalué à 650 000 $, est assuré par un important partenariat avec la Société du Plan Nord, qui finance le tiers du projet. Les entreprises Aluminerie Alouette, Compagnie minière IOC, Mine Arnaud, New Millennium Iron et Tata Steel Minerals Canada se partagent un autre tiers. Le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles en financent ensemble le dernier tiers.

Le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles sont heureux et fiers d’accueillir la Société du Plan Nord et les grandes entreprises de Sept-Îles dans ce projet unique et avant-gardiste. « Leur contribution permet la poursuite de cette démarche fort importante pour la région. Ce partenariat élargi est salutaire et vient enrichir la démarche », déclarent messieurs Réjean Porlier, maire de la Ville de Sept-Îles et Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À propos de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Lancé en 2013, l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles est une démarche novatrice de caractérisation de l’écosystème de la baie, qui démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Elle vise à obtenir une vision globale de la baie, ainsi qu’un outil de suivi pour le futur.

Sources :

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
Tél. : 418 961-1235

Amélie Robillard
Conseillère en communications
Ville de Sept-Îles
Tél. : 418 964-3344

Pour entrevue :

Ville de Sept-Îles
Réjean Porlier, maire
Tél. : 418 964-3211

Port de Sept-Îles
Pierre D. Gagnon, président-directeur général
Tél. : 418 968-1231, poste 223

INREST
Dre Julie Carrière, directrice et chercheure
Tél. : 418 962-9848, poste 369

Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles Présentation du rapport de la phase II

 

Sept-Îles, 10 mai 2016 – La Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont déposé aujourd’hui le rapport de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles.

L’étude (phase II), qui visait notamment la caractérisation des sédiments de la baie, a été réalisée en 2014 et 2015, par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST), en collaboration avec des chercheurs de l’Observatoire global du St-Laurent (OGSL), de l’Institut des sciences de la mer (ISMER) et de l’Université du Québec à Rimouski. Les paramètres suivants étaient à l’étude de cette seconde phasede recherche : la qualité des sédiments (matière organique, granulométrie, analyses physicochimiques), la communauté benthique, l’analyse de l’eau et la deuxième étape de l’étude sur la luminosité.

« À ce stade de réalisation, les données recueillies ne sont pas suffisantes pour conclure ou statuer sur l’état de la baie. Les travaux devront donc être complétés afin de permettre de réaliser un portrait de la baie de Sept-Îles. Les pistes de réflexion et les recommandations émises ont pour but d’orienter et de cibler les travaux de recherches des phases subséquentes. » mentionne la Dre Julie Carrière, directrice et chercheure à l’INREST.

Contexte de l’étude

Cette seconde phase d’analyse s’inscrit dans le projet global d’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles dont les objectifs sont de :

  • Connaître l’état actuel de la baie;
  • Mesurer et prévoir les impacts environnementaux sur l’écosystème de la baie;
  • Suivre à court, moyen et long termes l’évolution des différentes composantes analysées en mettant en place un mécanisme de veille environnementale;
  • Outiller les intervenants dans leur prise de décision et leur gestion environnementale,dans une optique de développement durable;
  • Répondre aux attentes et aux préoccupations émanant du milieu.

Lancée en 2013, cette démarche novatrice de caractérisation de l’écosystème de la baie de Sept-Îles démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Cette initiative vise à obtenir une vision globale de la baie, ainsi qu’un outil de suivi pour le futur.

« Cette démarche de recherche scientifique intégrée et continue, constitue une première sur le Saint-Laurent. À ce titre, cela témoigne du leadership environnemental que la Ville et le Port souhaitent exercer afin de veiller à la protection de la richesse des écosystèmes marins de la baie de Sept-Îles tout en y assurant une planification responsable s’appuyant sur les valeurs du développement durable. » affirme M. Pierre Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Pour le maire de Sept-Îles, M. Réjean Porlier, « la réalisation de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles permet d’assurer une continuité de la phase I, réalisée en 2013, et d’améliorer les connaissances de ce secteur, pour éventuellement être capable d’envisager les actions requises pour en assurer le maintien de la qualité à long terme. »

Phase III

La phase III de l’étude s’amorcera dès le printemps 2016.Les travaux sont évalués à 650 000 $, financés conjointement par la Ville, le Port de Sept-Îles, la Société du Plan Nord et l’entreprise privée. Une annonce officielle quant au lancement des travaux devrait d’ailleurs être faite au cours de prochaines semaines.

Rappelons que la phase I avait nécessité des investissements de 385 000 $, répartis entre le Port de Sept-Îles, la Corporation de protection de l’environnement et Développement économique Sept-Îles. La réalisation de la phase II de l’étude s’est effectuée au coût de 161 000 $, assumé à parts égales entre le Port et la Ville de Sept-Îles.

Pour consulter le rapport

Le rapport complet de la phase II ainsi qu’une présentation sommaire seront disponibles en ligne au baie.septiles.ca, et sur les sites Internet du Port de Sept-Îles et de la Ville de Sept-Îles. Comme pour la phase I, la population pourra y adresser ses questions en complétant le questionnaire prévu à cet effet, au plus tard le 10 juin 2016. Toutes les questions reçues seront compilées et les réponses seront publiées sur le site. Le délai de réponse dépendra de la quantité et de la complexité des questions reçues.

Une version papier du rapport sera mise à la disposition du public, pour consultation sur place, à la Bibliothèque Louis-Ange-Santerre, au Centre Wilfrid-Gallienne à Moisie et au Centre communautaire Marguerite à Gallix.

À propos de l’INREST

L’INREST est un organisme rattaché au Cégep de Sept-Îles qui a le mandat de gérer son unité de recherche en environnement et en santé au travail. Sa mission est de réaliser des activités de recherche en lien avec les sciences de l’environnement et de la santé au travail dans le cadre d’activités appliquées à l’environnement nordique. Les objectifs de l’INREST visent à développer des projets innovateurs à caractère appliqué tenant compte des préoccupations de développement durable, à assurer un soutien scientifique à la prise de décision et à mesurer les impacts sur la santé de la population et la sécurité des travailleurs. L’INREST favorise la mise en commun des ressources des partenaires pour proposer des solutions aux défis posés par le développement nordique.

Sources :

Patsy Keays
Directrice des affaires corporatives
Port de Sept-Îles
Tél. : 418 961-1235

Amélie Robillard
Conseillère en communications
Ville de Sept-Îles
Tél. : 418 964-3344

Pour entrevue :

Ville de Sept-Îles
Réjean Porlier, maire
Tél. : 418 964-3211

Port de Sept-Îles
Pierre D. Gagnon, président-directeur général
Tél. : 418 968-1231, poste 223

INREST
Dre Julie Carrière, directrice et chercheure
Tél. : 418 962-9848, poste 369

Sommaire du rapport de la phase II de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Sept-Îles accueillera le légendaire Queen Mary II en 2018

Sept-Îles – mardi 10 mai 2016 – Les efforts consentis ces dernières années par Destination Sept-Îles Nakauinanu et ses partenaires, soit la Ville de Sept-Îles, le Port de Sept-Îles et ITUM, ont mené l’organisation à figurer, pour la toute première fois, sur la liste des ports d’escale qui seront visités en 2018 par le renommé navire RMS Queen Mary II, de la ligne de croisière britannique Cunard.

Des efforts qui portent fruit

Destination Sept-Îles enregistre déjà plusieurs réservations pour les saisons 2017 et 2018. Parmi les navires qui visiteront notre port d’escale en 2017, le MS Insignia, de la ligne de croisière américaine Oceania Cruises, mouillera pour la toute première fois dans la baie de Sept-Îles durant son itinéraire Around The World in 180 Days, lors d’une escale estivale prévue le 22 juin 2017. La saison 2018 s’annonce quant à elle toute aussi prometteuse, plusieurs grands navires ayant déjà manifesté leur intérêt.

Sept-Îles est d’ailleurs fier de figurer parmi les ports d’escale choisis dans l’itinéraire du Queen Mary II sur le Saint-Laurent en septembre 2018. Cette réservation représente la consécration d’un travail de développement et de démarchage échelonné sur plusieurs mois, voire des années.

La présidente, Manon Langlois, souligne le fait que la collaboration soutenue des partenaires est au cœur du succès des négociations entreprises avec la ligne de croisières :

« La réservation du quai par le Queen Mary II est le résultat du travail acharné de tous les partenaires impliqués dans le développement des croisières internationales à Sept-Îles. Nous allons tout mettre en œuvre pour livrer la marchandise aux lignes de croisière Cunard et Carnival UK, pour faire en sorte qu’ils renouvellent leur confiance en notre escale et qu’éventuellement ils positionnent d’autres navires de leur flotte chez nous. »

Le Chef d’Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam, M. Mike McKenzie, insiste aussi sur l’importance du partenariat avec l’organisation dans la diffusion de la culture innue auprès des croisiéristes internationaux :

« Nous sommes fiers de nous être associés à Destination Sept-Îles Nakauinanu afin de faire rayonner notre culture, avec ses activités traditionnelles, qui reflète grandement notre appartenance à la terre-mère et de pouvoir la partager avec les croisiéristes qui nous rendent visite à chaque année. »

Lors de la construction du quai des croisières, c’est avec les spécifications du Queen Mary II que les plans ont été élaborés, en vue de recevoir un jour cet imposant navire. Le Port de Sept-Îles se réjouit aussi de permettre une réunion entre le célèbre navire transatlantique et le Hermel. Rappelons que Mylène Paquette avait croisé le Queen Mary II dans l’Atlantique Nord en septembre 2013, et que ce dernier lui avait porté une précieuse aide en lui envoyant, entre autres, des produits frais.

« Quel tour de force de Destination Sept-Îles Nakauinanu, d’avoir su arrimer la venue de ce navire prestigieux du monde des croisières internationales, et permettre à nouveau la rencontre des deux vaisseaux émérites, non pas en plein Océan Atlantique, mais au Port de Sept-Îles – Port d’attache du Hermel, célèbre navire à rames océanique et de sa courageuse capitaine, madame Mylène Paquette », de déclarer Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Le maire de Sept-Îles, Réjean Porlier, assure que cet évènement constituera un jalon historique important pour la ville :

« Nous allons profiter d’une vitrine incroyable sur le monde entier. La population se souviendra longtemps du passage de ce navire, j’en suis certain. Ce sera le plus gros navire reçu chez nous jusqu’à maintenant et on redoublera d’effort pour maximiser les retombées économiques et faire en sorte que la population en profite, comme toujours, mais particulièrement lors de cette visite historique. »

Le RMS Queen Mary II n’est pas seulement l’un des plus grands navires de croisière en mer; il est considéré comme étant le plus prestigieux d’entre tous. Récemment rénové, il tient à son bord plus de 3 800 passagers et membres d’équipage.

À PROPOS DU QUEEN MARY II

  • Année de mise en service : 2004
  • Tonnage brut : 151 400 tonnes
  • Longueur : 345 mètres
  • Largeur : 40 mètres

2016 : une saison transitoire

Beaucoup de changements et de nouveautés s’opèrent actuellement dans l’industrie des croisières et ce, à l’échelle internationale. Avec l’ajout, entre autres, de nouvelles destinations tel que la Chine ou Cuba, les escales du Saint-Laurent doivent se renouveler et se démarquer pour demeurer compétitives. La nouvelle chef d’escale en poste, Marie-Eve Duguay, a affirmé :

« Cette période de transition va nous permettre de consolider nos acquis et de développer de toutes nouvelles opportunités. De nouveaux enjeux se présentent à nous, et on se en bonne position pour y faire face ensemble. Notre destination a vécu sa phase de développement au niveau des infrastructures, on passe maintenant en deuxième vitesse, en mode croissance et notoriété. »

Moment fort de la saison 2016, 2420 passagers et membres d’équipage de deux navires américains, soit le Crystal Serenity et le Silver Whisper, nous visiteront simultanément le lundi 26 septembre.

Notre ville accueillera cet automne plus de 4300 passagers et membres d’équipage au total. Depuis bientôt dix ans, l’escale Sept-Îles a accueilli plus de 45 000 passagers et membres d’équipage à son port. L’horaire complet de la saison 2016 pour l’escale Sept-Îles est disponible sur le site cruisestlawrence.com.

Destination Sept-Îles Nakauinanu est un organisme à but non lucratif ayant pour mission de mettre en valeur la destination touristique de l’escale de Sept-Îles auprès des lignes de croisières internationales.

Pour information :

Marie-Eve Duguay, chef d’escale
Destination Sept-Îles Nakauinanu
meduguay@portsi.com | Tél: 418-961-1228

Déclaration de Wendy Zatylny, présidente de l’Association des administrations portuaires canadiennes, au sujet de la publication du budget fédéral canadien

L’AAPC se réjouit de la reconnaissance, dans le budget fédéral, de l’importance que revêtent les infrastructures pour la création de bons emplois, bien rémunérés, et la croissance économique durable, mais elle estime qu’il faudrait préciser davantage les possibilités qui s’offrent aux ports dans cette enveloppe budgétaire.

Les ports demeurent de puissants moteurs de commerce pour le Canada, mais ils doivent pouvoir s’adapter aux forces du marché en évolution constante. Une plus grande autonomie, une commercialisation accrue et l’élimination des obstacles à la souplesse financière permettraient aux administrations portuaires de saisir les occasions commerciales et de réduire les restrictions actuelles qui nuisent à la croissance.

Selon une étude de l’AAPC et de Transports Canada¹ sur les besoins en infrastructures portuaires, une dépense en immobilisations de 5,8 milliards $ est nécessaire pour répondre à la demande grandissante. Ce montant comprend 1,9 milliard $ (ou 33 %) pour la réhabilitation des biens portuaires existants. Ce financement public de l’infrastructure portuaire stratégique est essentiel pour développer au maximum la production économique du Canada.

Nous sommes impatients de discuter avec le Gouvernement du Canada en vue de clarifier les efforts de la phase 2, et d’offrir des couloirs commerciaux rapides et efficaces et de permettre aux ports d’aider le Canada à miser sur le potentiel du commerce mondial. L’AAPC cherche aussi à intégrer les besoins immédiats de financement de 1,9 milliard $ pour la réhabilitation portuaire dans le cadre du Nouveau Fonds Chantiers Canada. En dernier ressort, les infrastructures portuaires auront un effet multiplicateur sur l’économie canadienne. L’investissement initial soutiendra l’économie locale et la main-d’oeuvre et avec les investissements qui suivront, les ports pourront accroître et diversifier leurs cargaisons.

À propos de l’Association des administrations portuaires canadiennes
Créée en 1958, l’Association des administrations portuaires canadiennes regroupe les ports, les havres et les intérêts maritimes connexes en un seul organisme national. Elle représente toutes les administrations portuaires canadiennes, diverses entités gouvernementales, ainsi que des compagnies du secteur maritime, et elle sert de principale association pour la défense des intérêts et l’avancement de l’industrie portuaire canadienne. Les membres de l’AAPC manutentionnent au-delà de 162 milliards de dollars en marchandises par année et ils génèrent plus de 250 000 emplois directs et indirects. Leur apport à l’économie locale, régionale et nationale du Canada est considérable.

Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avec :
Wendy Zatylny
Présidente, Association des administrations portuaires canadiennes
Cell. : (613) 407-6022
Bureau: (613) 232-2036, poste 201
www.acpa-ports.net


¹CPCS Transcom, Étude sur les infrastructures des administrations portuaires canadiennes : besoins et programmes d’investissement dans les infrastructures portuaires, Association des administrations portuaires canadiennes, Ottawa, 2011

Annonce du financement fédéral du projet CHONe II en partenariat, entre autres, avec l’INREST, la Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles

SEPT-ÎLES, le 2 mars 2016 – L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST), la Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles sont heureux de l’annonce faite aujourd’hui à St-John’s, Terre-Neuve, par l’honorable Bardish Chagger, Ministre de la Petite Entreprise et du Tourisme, quant à l’injection sur une période de 5 ans, de 5 M$ par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) ainsi que de 1 M$ par Pêches et Océans Canada, dans la phase II du projet « Canadian Healthy Ocean Network » (CHONe), dirigé par le Dr Paul Snelgrove de l’université Memorial de Terre-Neuve.

Le secteur de la baie de Sept-Îles et ses environs a été retenu comme l’un des sites de recherche du projet CHONe II. La baie de Sept-Îles a été sélectionnée, car elle regroupe des conditions marines nordiques avec un apport d’eau douce ainsi qu’une activité industrielle, municipale et récréotouristique. Les données qui seront récoltées constitueront, pour les régions nordiques des trois océans en périphérie du Canada, ainsi que pour toute région nordique du globe, une base de données de référence sur la biodiversité marine et une vaste ressource en information pour les générations futures.

Différents projets de recherche seront donc réalisés dans la région de Sept-Îles en collaboration avec l’INREST. La Terre et ses océans sont sur le point de connaître une crise de la biodiversité, et cette crise peut présenter des défis aussi complexes que ceux qui sont associés aux changements climatiques. Compte tenu de ces menaces diverses à la santé des océans, il est urgent d’élaborer un nouveau cadre pour la préservation des océans. Fait important, ce cadre doit rassembler, à l’échelle nationale, des scientifiques des milieux universitaire et gouvernemental ainsi que des responsables de l’élaboration des politiques.

CHONe II est le résultat d’un partenariat entre 11 universités canadiennes impliquant 39 chercheurs, de nombreux scientifiques oeuvrant dans les laboratoires de recherche fédéraux, de même que d’autres partenaires dont le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Pêches et Océans Canada et l’INREST, représentant la Ville de Sept-Îles et le Port de Sept-Îles. Le Réseau CHONe II répond au besoin de lignes directrices scientifiques pour la conservation et l’utilisation durable des ressources de la biodiversité marine.

Rappelons que le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles se sont engagés à injecter ensemble dans l’INREST, 1 M$, permettant à l’institut de collaborer au projet pour les travaux de recherche réalisés dans la région et sur la Côte-Nord ainsi que de les représenter au sein du projet CHONe II. De ce montant, l’INREST versera une somme de 250 000 $ directement dans le projet CHONe II ainsi qu’une somme complémentaire sous forme de contribution nature. Cet investissement dans la recherche scientifique est essentiel afin de soutenir les équipes de chercheurs qui investigueront le secteur de Sept-Îles et d’autres régions du Canada, permettant de développer des indicateurs et des outils de gestion dans le but de préserver la biodiversité marine nordique.
Nous tenons également à souligner la nomination du Dr Julie Carrière au conseil des directeurs du projet CHONe II représentant l’INREST, le Port de Sept-Îles et la Ville de Sept-Îles.

Sources :

Julie Carrière
Directrice
Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail
418 962-9848, poste 369
Courriel : julie@inrest.ca

Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Denis Clements
Adjoint à la direction générale
Ville de Sept-Îles
418-964-3201

La Cour Supérieure du Québec approuve la transaction entre le Port de Sept-Îles et Wabush Iron Co. Limited / Wabush Resources Inc.

SEPT-ÎLES, le 2 février 2016 – Le Port est heureux de la décision rendue le 1er février par la Cour Supérieure du Québec approuvant l’entente conclue le 26 janvier dernier entre le Port et Wabush relativement à la vente des terrains communément appelés « Bloc Z » situés à Pointe-Noire et visés par les procédures de Wabush en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers.

Dans les faits, le « Bloc Z » représente plus de 400 hectares de terrain s’allongeant sur près de 5 kilomètres en bordure sud du chemin d’accès vers Aluminerie Alouette. En plus de ceux existants à Pointe-Noire, ces nouveaux espaces permettront au Port d’assurer pleinement sa mission d’agent de développement économique en reliant les 3 infrastructures portuaires dont il est propriétaire, soit le quai de Pointe-Noire, le quai de La Relance et le quai multi-usager. Ces nouveaux espaces viendront également ouvrir la porte à de nouvelles opportunités de mise en valeur pour un secteur déjà reconnu comme une plateforme stratégique du Plan Nord.

Le Port veillera dès lors à la mise en œuvre d’une collaboration étroite et efficace avec le gouvernement du Québec, nouveau propriétaire des terrains, équipements et droits liés aux opérations ferroviaires, d’entreposage, de bouletage et de transbordement dans le secteur de Pointe-Noire. De plus, il compte assurer dans les prochains jours la production de toute la documentation requise pour permettre la clôture de la transaction dans les meilleurs délais.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est l’un des plus importants ports minéraliers en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235

Le Port de Sept-Îles annonce la conclusion d’une entente concernant l’acquisition de terrains situés à Pointe-Noire

SEPT-ÎLES, le 27 janvier 2016 – Le Port de Sept-Îles annonce la conclusion d’une entente, sous réserve de l’approbation de la Cour, concernant l’acquisition par le Port de certains terrains situés à Pointe-Noire et qui sont actuellement visés par les procédures de Wabush Iron Co. Limited et Wabush Resources Inc. en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers.

La date du 1er février a déjà été retenue pour l’audition de la requête visant une transaction pour la vente de certains actifs de Pointe-Noire à Investissement Québec. Cette requête sera amendée afin d’obtenir, lors de cette même audition, l’approbation de l’acquisition projetée par le Port de certains terrains situés à Pointe-Noire. Des détails supplémentaires concernant la transaction projetée avec le Port sont disponibles sur le site Internet du contrôleur au : http://cfcanada.fticonsulting.com/bloomlake/.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activités de près de 25 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

Source :
Patsy Keays
Directrice, Affaires corporatives
Port de Sept-Îles
418 961-1235