Aluminerie Alouette inaugure son Centre de logistique de l’aluminium au terminal La Relance du Port de Sept-Îles

SEPT-ÎLES, le 21 août 2014 – En présence de dignitaires du milieu économique nord-côtier, le Ministre délégué aux Transports et à l’Implantation de la stratégie maritime, M. Jean D’Amour, le représentant du comité des actionnaires et président du comité d’expédition de métal d’Aluminerie Alouette, M. Pierre Boisvert, le président et chef de la direction d’Alouette, M. André Martel et le président-directeur général du Port, M. Pierre D. Gagnon ont procédé à la coupure officielle d’un ruban inaugurant du même coup le Centre de logistique de l’aluminium (CLA) situé au terminal La Relance.

Représentant un investissement total de près de 20 millions $, le nouveau bâtiment inclut des équipements automatisés à la fine pointe de la technologie. S’inscrivant dans la phase 2 du projet d’augmentation de la capacité du terminal La Relance, la construction du CLA avait été annoncée en 2010 par le Premier ministre du Canada, M. Stephen Harper. Maintenant opérationnel, le bâtiment de 6400 mètres carrés possède une capacité d’entreposage de 15 000 tonnes d’aluminium. Le métal gris, qui y transite avant de prendre l’autoroute bleue, est manutentionné par un système de gestion automatisé à l’aide de véhicules autoguidés.

« La maximisation des modes d’utilisation de la voie maritime pour l’expédition de notre aluminium sur les marchés internationaux fait partie intégrante de la stratégie d’Alouette visant à assurer sa pérennité », a souligné M. Boisvert. « La mise en place d’un tel entrepôt et de ses équipements de pointe, apporte de nombreux bénéfices, tant du côté des coûts que de la productivité et cela contribue au maintien de notre compétitivité en plus de répondre à un besoin grandissant en matière de logistique de transport », a complété M. Martel. En innovant de la sorte et en optimisant les méthodes de travail liées à l’expédition, la rapidité de chargement des navires est augmentée considérablement ce qui réduit par le fait même le temps à quai. Cela offre donc davantage de disponibilité pour des chargements supplémentaires. L’automatisation assure ainsi un positionnement adéquat de l’aluminerie pour ses projets de croissance. La construction d’un bâtiment fermé dans un lieu stratégique à proximité de l’aire de chargement des navires permet aussi de protéger les gueuses d’aluminium des intempéries, notamment en saison hivernale.

« Avec le Centre de logistique de l’aluminium, Aluminerie Alouette s’est dotée d’une solution novatrice unique en son genre. Cadrant parfaitement avec la stratégie maritime que notre gouvernement souhaite implanter, ce centre permettra d’accroître la compétitivité et la capacité de transbordement du Port de Sept-Îles et de renforcer la chaîne de transport intermodal. Cela démontre qu’il est possible de propulser l’économie québécoise tout en donnant un nouvel élan à notre industrie maritime », a souligné M. D’Amour.

Aluminerie Alouette expédie annuellement plus de 450 000 tonnes d’aluminium de première fusion, soit environ 80 % de sa production via un des plus grand terminal portuaire de l’industrie de l’aluminium en Amérique. « En étant partenaire d’un projet de développement économique comme celui-ci, le Port de Sept-Îles contribue activement à faire de la région un pôle international en matière d’expédition d’aluminium », a enfin ajouté M. Gagnon. La construction du CLA a également été rendue possible grâce à la participation financière du Gouvernement fédéral par l’entremise du Fonds de stimulation de l’infrastructure, du ministère des Transports du Québec grâce au volet 3 du Programme d’aide visant la réduction ou l’évitement des émissions de gaz à effet de serre (PAREGES). En plus de la firme Hatch, chargée du projet, des entreprises régionales (Métal 7, Construction BLH, Groupe Trinor, Voltek), nationales (Mecfor, Rotalec) et internationales (FROG) ont également pris part à la construction.

À propos d’Aluminerie Alouette

Inaugurée en 1992, Aluminerie Alouette est une entreprise indépendante de production d’aluminium. Avec près de 1 000 employés et une capacité de production annuelle de 600 000 tonnes d’aluminium de première fusion, elle est le plus important employeur de Sept-Îles et la plus importante aluminerie des Amériques. L’usine de Sept-Îles est une référence mondiale en matière d’efficacité énergétique, en plus d’être à la fine pointe de la technologie. Elle respecte les normes gouvernementales en matière environnementale.

À propos du Port de Sept-Îles

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité de plus de 30 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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Le Port de Sept-Îles acquiert le bateau « Hermel » de Mylène Paquette

SEPT-ÎLES, le 9 avril 2014 – C’est avec beaucoup de fierté et d’enthousiasme que le président du conseil de l’Administration portuaire de Sept-Îles, monsieur Carol Soucy, a annoncé que la proposition du Port de Sept-Îles pour l’acquisition du bateau « Hermel » a été acceptée. On se souviendra que ce bateau à rame a été utilisé par madame Mylène Paquette pour effectuer la traversée de l’Atlantique à la rame pendant 129 jours en 2013, ce qui constitue un exploit sans précédent qui a suscité une couverture médiatique mondiale.

« Cet accomplissement qui représente courage, ténacité, détermination et performance cadre très bien avec les valeurs du Port de Sept-Îles », a déclaré monsieur Soucy. Le bateau, qui sera intégré au nouvel édifice administratif du Port de Sept-Îles dont la construction est prévue en 2015, constituera un important pôle d’attraction pour la communauté, le milieu éducatif, les visiteurs, les touristes et les croisiéristes.

« Je tiens à féliciter le Port de Sept-Îles pour l’audace dont il a fait preuve en se portant acquéreur du Hermel. Cette embarcation qui jouit déjà d’une enviable réputation, tout comme sa capitaine, représentera pour Sept-Îles un point d’intérêt inestimable, ce qui ajoutera à l’offre touristique un autre attrait de grande valeur. Je suis confiant de voir la population s’approprier avec enthousiasme ce symbole de réussite et de persévérance », a souligné monsieur Réjean Porlier, maire de la Ville de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité de plus de 30 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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Le Port de Sept-Îles remet sa 27e canne au premier navire à mouiller dans les eaux du port en 2014

A95W2123_DxOSEPT-ÎLES, le 22 janvier 2014 – Battant pavillon de Panama, en provenance d’Ijmuiden, Pays-Bas, le M/V Huang Shan était le premier navire de l’année, avec son arrivée à Sept-Îles enregistrée à 3 h 22 le 1er janvier 2014. Le navire, allège à son arrivée, repartira à la fin de janvier 2014 avec une cargaison de près de 165 000 tonnes de minerai de fer de la compagnie Cliffs Québec Mine de Fer, à destination de Qingdao, Chine.

La cérémonie de remise de la canne a eu lieu hier lors du traditionnel cocktail de début d’année du Port de Sept-Îles à la Réserve navale NCSM Jolliet en présence d’une centaine de convives. Le capitaine Fan Kuang-Yun s’est vu remettre la prestigieuse canne du premier navire de l’année par le président-directeur général du Port, monsieur Pierre D. Gagnon. Différents présents en guise de reconnaissance ont également été remis par le maire de Sept-Îles, monsieur Réjean Porlier, ainsi que par monsieur Steeve Charest, directeur général, division Pointe-Noire de Cliffs.

Cette tradition, qui en est à sa 27e édition, souligne l’arrivée du premier navire de l’année à mouiller dans les eaux du port. Six navires étaient dans la course cette année, dont trois destinés pour Cliffs et trois pour la minière Rio Tinto IOC. Pour être admissible, le navire doit absolument provenir de l’étranger et quitter pour une destination à l’extérieur du pays.

L’ANNÉE 2013 EN REVUE

Le volume manutentionné dans la baie de Sept-Îles pour 2013 est demeuré similaire à celui de 2012 avec près de 28 millions de tonnes. On se doit de souligner l’arrivée d’un nouvel usager pour le Port de Sept-Îles, soit Tata Steel Minerals Canada (TSMC) qui a expédié 240 276 tonnes de minerai de fer par l’entremise des installations de la compagnie minière Rio Tinto IOC.

L’année 2013 a été marquée en grande partie par les activités intenses de construction du quai multi-usager du côté de Pointe-Noire qui ont totalisé dans l’année des investissements sans précédent de près de 130 M$. Rappelons que ce quai, de classe mondiale, au coût final de 220 M$ desservira de nouveaux usagers dans le marché du fer et sera en service dès l’été 2014. Le Port tient à souligner l’importance des retombées locales qui sont actuellement générées avec 80 à 90 % de la main-d’œuvre régionale et la fourniture de services et d’équipements par les fournisseurs locaux.

Impossible de passer sous silence comme fait saillant annuel, le passage du premier minéralier de la génération Chinamax dans le port de Sept-Îles pour un chargement de 302 264 millions de tonnes de minerai de fer en provenance de la mine du Lac Bloom de la compagnie Cliffs Natural Resources. « Jalon maritime historique en Amérique du Nord, la venue du CSB Years représente l’ouverture du Port à la fréquentation de la nouvelle génération des super-minéraliers sur la planète », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité de plus de 27 millions de tonnes annuellement. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars.

 

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Record de tous les temps dans l’histoire maritime de l’Amérique du Nord

Chargement_CSB_Years_1Sept-Îles, le 17 décembre 2013 – Le Port de Sept-Îles est fier d’avoir été l’hôte du plus imposant chargement de navire survenu dans l’histoire maritime de l’Amérique du Nord. En effet, c’est dimanche dernier le 15 décembre à 6 h 30, qu’a quitté une gigantesque cargaison de 302 264 tonnes métriques de minerai de fer en provenance de la mine du Lac Bloom de la compagnie Cliffs Natural Resources. Le chargement a été effectué grâce au navire auto-déchargeur CSL Spirit qui a permis le transbordement du minerai de fer à bord du navire CSB Years qui réalisait pour l’occasion sa toute première livraison.

Le CSB Years est le premier géant des mers de la génération des Chinamax à venir en Amérique du Nord, et plus particulièrement au port en eau profonde du Port de Sept-Îles. Il mettra près de 57 jours pour atteindre sa destination en Chine et livrer sa cargaison au partenaire de Cliffs, la société Wuhan Iron and Steel Company (WISCO).

Ce record historique vient fracasser l’ancien record de chargement réalisé au Port de Sept-Îles, il y a maintenant 20 ans, le 16 octobre 1993, avec le navire Athesis Ore et son chargement de minerai de fer de 255 653 tonnes métriques.

Cette cargaison de minerai de fer d’une valeur de plus de 40 millions de dollars est suffisante pour fabriquer à elle seule, l’équivalent de 6 ponts Champlain ou 200 000 voitures qui bout à bout représenteraient un convoi de 1200 kilomètres de longueur, soit l’équivalent de la distance entre Toronto et Sept-Îles.

« Avec ce nouveau jalon, le Port de Sept-Îles est à un tournant dans son histoire. Les vraquiers de type Chinamax sont la voie du futur pour les grands expéditeurs de vrac de par leur efficacité opérationnelle et leur capacité de chargement qui, ensemble, réduisent les émissions de gaz à effet de serre ainsi que le nombre et la fréquence des navires à mouiller dans la baie », de dire monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

À PROPOS DU CSB YEARS

Tout récemment construit, le CSB Years est un navire vraquier de classe « Chinamax » d’une capacité de chargement de 330 000 tonnes métriques. Sa longueur est équivalente à celle de la tour Eiffel avec 330 mètres, et sa largeur similaire à celle d’un terrain de football avec ses 57 mètres. Battant pavillon Chinois, il fut enregistré à Hong Kong en janvier 2012, par la compagnie Nianhua Shipping S.A.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique au fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement économique a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité portuaire du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

 

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Un jalon historique en Amérique du Nord : le tout premier minéralier de la génération des Chinamax sera chargé au Port de Sept-Îles

CSB_Years_1SEPT-ÎLES, le 16 octobre 2013 – Cliffs Natural Resources Inc. (NYSE : CLF) (Paris : CLF) (« Cliffs ») et le Port de Sept-Îles annoncent aujourd’hui que, pour la toute première fois en Amérique du Nord, un super-minéralier sera chargé dans la Baie de Sept-Îles et transportera 300 000 tonnes métriques de concentré de minerai de fer provenant de la mine de Cliffs Natural Resources au Lac Bloom, vers l’Asie.

« Toute l’équipe de Cliffs est fière de cette étape marquante en Amérique du Nord », a déclaré monsieur Don Gallagher, vice-président exécutif et président – commercialisation, Cliffs. « Cette première livraison de minerai de fer par Chinamax pour notre client Wisco est en lien avec les valeurs de responsabilité environnementale et d’efficacité opérationnelle de Cliffs. En effet, la haute technologie de ces super-minéraliers et leur capacité de chargement (plus de 300 000 mille tonnes métriques) permettent de diminuer les émissions de gaz à effet de serre de même que le trafic maritime, tout en améliorant notre compétitivité dans le marché mondial du minerai de fer. Il est très excitant de voir cette nouvelle route d’accès entre Sept-Îles et l’Asie devenir réalité. »

« Nous assistons à un tournant historique, soit celui de l’ouverture du Port à la fréquentation de la nouvelle génération des super-minéraliers sur la planète. Nous devons féliciter l’initiative de l’équipe de notre partenaire Cliffs Natural Resources qui a rendu cet exploit possible », de dire le président-directeur général du Port de Sept-Îles, monsieur Pierre D. Gagnon.

À propos du CSB Years

Le CSB Years est un navire vraquier de classe « Chinamax » d’une capacité de chargement de 330 000 tonnes métriques, mesurant 330 mètres de long et 31,3 mètres de haut. Battant pavillon Chinois, le CSB Years a été enregistré à Hong Kong en janvier 2012, par la compagnie Nianhua Shipping S.A.

À propos de Cliffs Natural Resources Inc.

Cliffs Natural Ressources Inc. est une société internationale d’exploitation minière et de ressources naturelles. Membre de l’indice S&P 500, Cliffs est un important producteur de boulettes de minerai de fer et de charbon métallurgique. Cliffs vise à élargir et diversifier sa présence dans le secteur minier au sein des plus importants marchés mondiaux de l’acier. Dans le respect des valeurs en matière de préservation de l’environnement et du capital, les collaborateurs de Cliffs à travers le monde s’assurent de tenir tous leurs intervenants informés par les performances opérationnelles et financières de l’entreprise.

La structure de la société est constituée d’un groupe commercial responsable des ventes et de la livraison des produits et d’un groupe d’exploitation qui gère les activités de production. Cliffs exploite des mines de fer et de charbon en Amérique du Nord et une mine de fer en Australie-Occidentale. De plus, Cliffs possède un projet majeur de chromite au stade de la faisabilité en Ontario, au Canada.

Communiqué de presse et autre information disponibles sur le site Internet de la Compagnie, à http://www.cliffsnaturalresources.com.

À propos du Port de Sept-Îles

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

Communiqué de presse et autre information disponibles sur le site Internet du Port de Sept-Îles, à http://retd.ca/pdsi.

 

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Fiche technique du CSB Years

Le Port de Sept-Îles répond à Cliffs / Wabush

Sept-Îles, le 7 octobre 2013 – En réponse à une procédure judiciaire introduite par Mines Wabush et son agent gestionnaire Cliffs Mining Company le 29 juillet dernier, le Port de Sept-Îles a déposé aujourd’hui au dossier de la Cour supérieure du district de Mingan, sa contestation afin de rectifier certains faits et de faire valoir ses propres arguments à l’encontre de cette procédure.

Le Port tient à préciser qu’il considère toujours nécessaire pour les parties de conclure une transaction visant à désenclaver les installations portuaires de Pointe-Noire et d’accommoder d’autres entreprises en regard de leur utilisation.

Depuis 1998, le Port a investi plus de 33 millions de dollars au quai de Pointe-Noire afin d’augmenter la capacité des infrastructures portuaires au bénéfice de Mines Wabush et en vue des demandes de nouveaux usagers pour accéder au Port. Le Port s’est de plus engagé avec des partenaires privés ainsi que le Gouvernement du Canada dans un investissement de 220 millions de dollars pour l’implantation d’un nouveau terminal portuaire pour desservir l’industrie minière du Québec et du Labrador.

C’est dans ce contexte que le président-directeur général du Port, Pierre D. Gagnon, souhaite que les parties reprennent les discussions afin de permettre à Mines Wabush et au Port d’atteindre leurs objectifs respectifs et de favoriser le développement des installations portuaires de Pointe-Noire au bénéfice de nouveaux usagers et de l’économie du Québec et du Labrador.

Par respect pour le tribunal, le Port de Sept-Îles n’accordera pas d’entrevues en regard de ce litige.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes.La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique au fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement économique a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité portuaire du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

 

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Création d’un observatoire pour la veille environnementale de la baie de Sept-Îles

Sept-Îles, le 26 août 2013 – Le Cégep de Sept-Îles, la Ville de Sept-Îles, la Corporation de protection de l’environnement de Sept-Îles, Développement économique Sept-Îles et le Port de Sept-Îles ont donné, ce matin, le coup d’envoi à la création d’un observatoire pour la veille environnementale de la baie de Sept-Îles qui sera dirigé par l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST).

« Je suis heureux de la création de cet observatoire qui démontre la volonté des partenaires à travailler conjointement en matière d’environnement et de développement durable. Cette initiative permettra à la communauté d’obtenir une vision globale de la baie », d’affirmer M. Serge Lévesque, maire de la Ville de Sept-Îles.

En plus de fournir un portrait environnemental, ce projet poursuit plusieurs objectifs dont :

  • actualisation et consolidation des données et mesures reliées à l’environnement de la baie;
  • production d’un rapport de suivi annuel à partir du traitement des données par l’INREST;
  • projeter la capacité du milieu à accueillir des projets acceptables et sécuritaires pour la population et l’environnement;
  • assister les entreprises existantes dans l’amélioration de leur performance environnementale, s’il y a lieu;
  • mesurer les résultats des efforts de conservation et d’amélioration environnementale dans la baie de Sept-Îles.

« À notre connaissance, cette approche de recherche intégrée et continue d’un tel écosystème est une première au Québec et possiblement au Canada. Ceci nous permet donc de se positionner comme précurseur en matière environnementale et de développement durable », de témoigner M. Donald Bherer, directeur général du Cégep de Sept-Îles.

Au terme de plusieurs mois de préparation, les acteurs ont convenu d’adopter une démarche dont la phase de démarrage se détaille comme suit :

1. Recensement et analyse des données existantes (revue de littérature)
2. Échantillonnage sur la qualité de l’eau et des sédiments
3. Production et diffusion d’un rapport final

« Les données actuelles étant insuffisantes pour concevoir une stratégie globale de surveillance à long terme, cette phase de démarrage permettra à l’INREST et ses partenaires de mieux orienter les phases subséquentes prévues pour 2014 et 2015 », d’informer Dre Julie Carrière, ing., chercheure et directrice du nouvel institut de recherche.

Cet important projet fournira une meilleure compréhension des impacts environnementaux présents et futurs grâce à l’acquisition de données de références crédibles et actualisées. De plus, il outillera l’ensemble des intervenants dans la prise de décision et leur gestion environnementale, tout en répondant aux attentes et préoccupations émanant du milieu.

« Intégrant les objectifs poursuivis de l’Alliance verte, la mise sur pied de cet observatoire permettra de veiller à la protection de la richesse de nos écosystèmes marins, et ainsi, assurer une planification responsable s’appuyant sur les valeurs du développement durable. Cette démarche novatrice témoigne du leadership environnemental du Port et de ses partenaires », de déclarer M. Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

Il en coûtera près de 384 250 $ pour mettre en branle la première phase de cette initiative. Développement économique Sept-Îles y investira 50 000 $, le Port de Sept-Îles, 209 600 $ et la Corporation de protection de l’environnement défraiera 124 650 $. « Je remercie la Ville de Sept-Îles de nous fournir le support financier nécessaire à la réalisation de ce projet sur lequel nous travaillons depuis quelques années. C’est une initiative environnementale structurante pour le développement de notre communauté », de conclure Mme Stéphanie Prévost, directrice générale de la Corporation.

Les travaux débuteront sous peu et le dépôt du rapport final de cette première phase est prévu pour l’automne 2014. Pour ce qui est de la phase 2 du projet prévue pour l’an prochain, les paramètres étudiés devraient, entre autres, comprendre la communauté benthique, les zostères, les poissons, le phytoplancton, les macroalgues, les données physiques et climatiques.

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Faits saillants du projet
Communiqué de presse – INREST

Quai multi-usager – avancement à mi-échéance

IMG_4189SEPT-ÎLES, le 9 juillet 2013 – Maintenant rendu à la moitié de l’échéancier de la réalisation du plus gros chantier maritime du Canada, le Port de Sept-Îles souhaite faire un bilan d’avancement.

Avec plus de 95 % des coûts des projets qui sont maintenant connus et engagés, le Port se déclare des plus satisfaits concernant les prix favorables obtenus, et qui lui permettent d’envisager de respecter son budget de 220 millions ainsi que son échéancier de livraison pour la fin mars 2014.

Le Port est également heureux de la reprise à plein régime de la cadence des travaux à la suite de l’interruption des activités de construction pendant huit jours reliée au conflit provincial de la construction.

Le Port tient à souligner l’importance des retombées locales qui sont actuellement générées avec :

80 à 90 % de la main-d’œuvre locale parmi les 130 travailleurs présentement au chantier;
la fourniture de services et équipements par les fournisseurs locaux pour plus de 20 millions de dollars, répartis chez les principaux fournisseurs suivants : Construction de lignes électriques N.G.E., Westburne, Nedco, Équipements Nordiques, Construction Tshiuetin, AXOR, Bouchard & Blanchette Marine.

« Nous sommes également bien satisfaits du support proactif et de la collaboration étroite des équipes de Pomerleau et Sandvik Canada qui contribuent de très près avec notre équipe à réaliser le terminal portuaire de vrac le plus important au pays », de déclarer monsieur Pierre D. Gagnon, président-directeur général.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

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Le Port de Sept-Îles obtient un prix en reconnaissance de son appui aux Réservistes des Forces Canadiennes

Photo_8_Special_Award_Port_SeptIlesOTTAWA – Le Port Sept-Îles a reçu le prix spécial pour l’appui à la Force de réserve lors d’une cérémonie tenue vendredi au Musée canadien de la guerre à Ottawa. Le Conseil de liaison des Forces canadiennes (CLFC) a remis le prix au président du Port, M. Pierre Gagnon, au cours de sa cérémonie biennale de remise des prix nationaux pour l’appui des employeurs. Cette dernière est organisée afin de rendre hommage aux organismes gouvernementaux, aux entreprises et aux établissements d’enseignement et de souligner leur appui à la Première réserve.

Le capitaine de corvette François Levesque, commandant du Navire canadien de Sa Majesté (NCSM) JOLLIET de la Division de la Réserve navale à Sept-Îles (Québec), a proposé le Port Sept-Îles comme lauréat du prix. « M. Pierre Gagnon, président et directeur général du Port Sept-Îles, est un fervent promoteur du NCSM Jolliet et de la Réserve navale à Sept-Îles. Nos deux organisations ont collaboré de façon exemplaire dans la région », indique M. Levesque, qui fait l’éloge du Port Sept-Îles, lequel a aidé à promouvoir le NCSM Jolliet à l’échelle locale. « Le Port a même aiguillé de ses employés vers le NCSM Jolliet aux fins d’enrôlement dans la Réserve navale. » François Levesque a servi 10 ans dans la Réserve de l’Armée de terre à titre d’officier de la logistique et au sein d’autres postes avant d’intégrer la Force régulière à titre d’officier de la marine en 2001. Il poursuit actuellement des études à distance à l’Université du Québec dans le but d’obtenir son diplôme en administration des affaires.

Des prix semblables ont été remis à 19 organisations de partout au Canada, dont des entreprises et des établissements d’enseignement, qui ont été reconnues pour leur soutien remarquable à l’égard des membres de la Réserve des Forces armées canadiennes. Plus de 150 personnes étaient présentes à la cérémonie à titre de présentateurs, de lauréats ou d’invités, dont le vice-amiral Bruce Donaldson, vice-chef d’état-major de la Défense et de nombreux autres officiers supérieurs et hauts fonctionnaires. Don Newman, journaliste de grande expérience à la retraite, a agi comme maître de cérémonie, laquelle s’est déroulée au cœur de la collection d’objets militaires historiques conservés dans la galerie LeBreton du Musée canadien de la guerre.

Le CLFC est un groupe de dirigeants d’entreprises et d’établissements d’enseignement civils qui consacrent volontairement temps et énergie à promouvoir la Première réserve, la force militaire à temps partiel du Canada, en insistant sur les avantages que procurent la formation et l’expérience des réservistes au milieu de travail civil.

Le mandat du CLFC consiste à accroître la disponibilité des réservistes pour exercer leurs fonctions militaires. Pour y parvenir, le CLFC doit obtenir le soutien et la coopération de dirigeants d’organisations canadiennes. La vision du CLFC est que tous les chefs d’organisation du Canada appuient activement les réservistes.

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Croissance et nouveaux partenaires au rendez-vous en 2012

– Le Port de Sept-Îles est fier d’annoncer que le volume manutentionné dans le port a augmenté de 7,5 % par rapport à l’an dernier pour atteindre 28 millions de tonnes. Cette augmentation est principalement attribuable à la croissance des volumes de minerai de fer manutentionnés et plus particulièrement reliée à l’augmentation des volumes d’activité de Labrador Iron Mines qui représente plus de 80 % de la croissance.

Le début d’année 2012 a d’abord été marqué par l’annonce de l’investissement historique et sans précédent du gouvernement fédéral d’une contribution de 55 millions de dollars, représentant 25 % du coût total de construction de 220 M$ pour le nouveau quai multi-usager.

Cette annonce structurante a ainsi permis l’arrivée de cinq nouveaux partenaires au Port qui participeront au financement de 50 % du projet, dont les entreprises : Alderon Iron Ore Corp., Champion Iron Mines Limited, Labrador Iron Mines Holdings Limited, New Millennium Iron Corp. et Tata Steel Minerals Canada Limited.

On ne peut passer sous silence la réalisation de la toute première semaine maritime de l’histoire qui s’est déroulée du 27 septembre au 4 octobre grâce à la collaboration de nombreux partenaires, soit la Ville de Sept-Îles, le NCSM Jolliet et Destination Sept-Îles Nakauinanu. La semaine fut un réel succès avec plus de 2000 personnes qui ont participé aux diverses activités offertes.

On se doit également de souligner l’importante implication du Port pour soutenir les besoins du milieu tout au cours de l’année. En effet, la Fondation du Centre hospitalier de Sept-Îles a pu recevoir du Port de Sept-Îles un don record d’un quart de million de dollars pour le projet de consolidation et robotisation du laboratoire du CSSS de Sept-Îles. De plus, la levée de fonds record de 115 000 $ remise à l’Élyme des sables dans le cadre du 5 à huîtres maritime du Port de Sept-Îles en octobre dernier est tout autant digne de mention. Au total, c’est plus d’un demi-million de dollars en support monétaire à la communauté qui fut réalisé dans l’année en considérant tous les autres organismes et causes auxquels le Port a apporté son soutien.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES

Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume d’activité annuel de près de 30 millions de tonnes. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique dans le fonctionnement de plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur primaire de la région. Son rayonnement a été évalué à tout près de 4000 emplois directs et indirects avec une activité économique annuelle de près de 1 milliard de dollars. L’activité du Port de Sept-Îles représente donc une source significative de création de richesse économique pour le Québec et le Canada.

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